RS100

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@Alain (cross posting ) tout à fait d'accord

@François
;angry; Avant de critiquer, faudrait ptet lire les post en entier ;rolleyes;

J'ai écris que la limite du système Hâle-Bas était justement les contraintes sur le gréement, et principalement le mat. Même avec un triangle aplati, on peut mettre un vérin hydraulique (ou tout autre système de mule) et développer la force voulue sur la chute de GV, mais çà se traduit par une compression sur le vis de mulet et donc sur le mat.

La géométrie est donc justement le facteur limitant, quelque soit le bateau.

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Mais puisque tu parles de la YoleOK ... c'est justement un excellent exemple (comme finn, europe etc etc) .
Peux tu me rappeler les réglages de surpuissance ? ... si je ne me trompe le Hâle-Bas n'est même pas mentionné sur les guides de réglages au près.
> Bordure à fond
> Barre d'écoute complètement débordé (Barre d'écoute :o )
> Bordé à fond jusqu'à ce que la bôme touche le caisson.
> Cunni à block pour faire dégueuler la chute en haut

Le tout sur une voile de seulement 9m² sans rond de chute.

Donc effectivement, la Yole reprend exactement les mêmes solutions techniques, ce qui n'est pas surprenant puisqu'elle est face au même problème que tous les solo-rappel.

Le RS700, étant à trap, est moins limité en couple de rappel, sa bôme étant haute, le triangle du hâle bas est plus ouvert.
Même si je trouve que la solution du MPS (bome au pied de mat + pousse bas) est plus élégante.
Mais clairement, on voit que c'est un aspect du développement actuel qui pose problème.

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Pour ne pas polluer plus avant ce post, j'ai ouvert un post plus spécifique
ICI

Le principal avantage de la barre d'écoute en yole finn ou europe c'est qu'il es inutile de choquer le hale-bas au virement de bord puisque c'est déjà fait.
Il n'y a qu'un seul bout' à gérer en plus de la barre. Dans ces bateau, la troisième main (et la partie de cerveau qui va avec) fait tout autant défaut qu'en skiff.

Et pour les réglages de brise, tu feras en fonction de ta voile, mais le cunningham n'en pas obligatoirement à fond, si le cintre en haut est bien compensé par le rond, la chute ouvrira toute seule. de même, le bas de la voile peut rester un peu creux pour aider à passer les vagues.

Non, franchement, si j'ai gréé une barre d'écoute sur ma yole (qui n'en avait qu'une symbolique au départ) c'était pour faciliter les virements et la relance en sortie, le chariot est débordé, la voile se règle en se remettant au rappel puis le cap est repris en réglant le chariot. mes trois brins d'écoute étaient moins efficace que le hale-bas.

Pour ceux que çà intéresse, on commence à voir quelques confrontations significatives RS100 vs D-One en UK cette saison.

Par exemple : POSH 12-13 Mai

Ca semble bien réparti avec des rating de 998 pour le RS100 et 953 pour le D-One.
(Attention de ne pas trop prendre en compte le leader qui est un ex champion d'Europe de finn et sort d'une PO ...)

Salut à vous,

Il semble qu'un RS100 flambant neuf ait été vu sur la base de Loisir de St Quentin en Yvelines il y a quelques jours.... le propriétaire trainerait-il sur le forum ?

Tchusss...

Juste pour info, RS va bientôt fête le 400eme bateau vendus en 4 ans de prod. Pas mal dans le monde actuel. Le premier championnat du monde aura lieu en octobre à Côme.

J'ai vu que tu pensais venir à l'Open de France avec. Seras-tu à Côme en octobre?

ggc wrote: J'ai vu que tu pensais venir à l'Open de France avec. Seras-tu à Côme en octobre?

Je n'en sais fichtrement rien... Comme pour le mondial, comme pour L'open.

Sur 400, cela en fait combien présents en France ?
est-ce que Nicolas Honor a le décompte ?

Il y en a 1 a toulon, celui de bruno

+1 à Port-Manech dans le finistère sud

Il y a eu 14 ou 15 RS100 de vendus en France d'après les chiffres de RS. Il peut y en avoir quelques un de plus avec les importations d'occasion hors RS mais bon, on va dire moins d'une vingtaine en 3 ans.
L'année dernière, 4 ont participé à au moins une régate en France.
Cela reste léger.
Il y a par exemple en France plus d'un trentaine de RS700 et 19 ont participé à au moins une régate.

Le bateau n'est pas assez connu et c'est bien dommage.

En tout cas le mondial me tente bien. Je ne connais pas Côme, il parait que c'est magnifique, c'est sur 3 jours et même si c'est loin, cela roule plutôt bien pour aller la bas. Bon le seul truc c'est que c'est au moment de Granville.

Si des personnes veulent le faire.

Je me régale avec le RS 100 n° 290 .Bateau très ergonomique, tout tombe sous la main, tout est réglable simplement ( sangles de rappel, hale bas , cunningham, bordure). Gréer se fait en 10 mn tout compris.Dérive pivotante, quète reglable.
Ce qui est vraiment interessant c'est ce grément libre ( les 2 haubans ne servent qu'a empêcher le mat de cintrer en avant sous spi :+ 12.5 m²).Il s'agit comme toujours de naviguer à plat ( en tout cas c'est recherché) et par le rappel de faire accélerer le bateau et si l'adonnante est trop forte de choquer "à peine" ou de lofer légèrement ( bonjour les abdos). La voile ( 8.4 m²) est puissante et moduler la puissance est vraiment chouette, A la barre c'est top top top; Sous spi un vrai régal: 20.9 m² pour 80 kg !!!!!, les empannages sont rapides en l'absence d'étai. Je suis emballé et n'ai pas encore essayé la voile de 7.4m² taillée plus plate pour le mistral.J'ai navigué pendant 13 ans sur le Laser 4000 avec un immense plaisir toute l'année. Le choix du RS 100 me convient parfaitement: physique, très reactif, beau, très bien fini, sensible avec une glisse !! thumbsup; .Ce bateau pourrait être sur la page d'acceuil dans skiff solitaire sans trap".
Amitié

BrunoLS wrote: Je me régale avec le RS 100 n° 290 .Bateau très ergonomique, tout tombe sous la main, tout est réglable simplement ( sangles de rappel, hale bas , cunningham, bordure). Gréer se fait en 10 mn tout compris.Dérive pivotante, quète reglable.
Ce qui est vraiment interessant c'est ce grément libre ( les 2 haubans ne servent qu'a empêcher le mat de cintrer en avant sous spi :+ 12.5 m²).Il s'agit comme toujours de naviguer à plat ( en tout cas c'est recherché) et par le rappel de faire accélerer le bateau et si l'adonnante est trop forte de choquer "à peine" ou de lofer légèrement ( bonjour les abdos). La voile ( 8.4 m²) est puissante et moduler la puissance est vraiment chouette, A la barre c'est top top top; Sous spi un vrai régal: 20.9 m² pour 80 kg !!!!!, les empannages sont rapides en l'absence d'étai. Je suis emballé et n'ai pas encore essayé la voile de 7.4m² taillée plus plate pour le mistral.J'ai navigué pendant 13 ans sur le Laser 4000 avec un immense plaisir toute l'année. Le choix du RS 100 me convient parfaitement: physique, très reactif, beau, très bien fini, sensible avec une glisse !! thumbsup; .Ce bateau pourrait être sur la page d'acceuil dans skiff solitaire sans trap".
Amitié

avec fabien on devrait sortir les 2 cherubs dimanche en tout debut d'aprem, si tu passes au club fait nous signe qu'on puisse voir la bete!!!

Je reprends une demande précédente afin de mieux mettre en valeur dans le site ce beau bateau RS100 :
- peut-on ajouter le RS100 dans la liste des skiffs solitaires sans trapèze (en particulier à côté du Done)
- et le mettre aussi dans la liste des skiffs recensés dans les fiches individuelles des skiffeurs,
- ainsi que dans le menu déroulant qui permet de faire des tris pour recenser les brezhsiffeurs sur un support choisie

Bref tout cela nous donnera une meilleure visibilité du RS100 en France

En ce qui concerne mon retour d'expérience, je signale juste qu'il faut bien surveiller les lèvres de dérives

Philippe

Premier championnat du monde ce weekend (vendredi samedi dimanche) à Côme en Italie. Magnifique endroit sauf que le temps annoncé est du froid, de la pluie et pas de vent... Tout ce que j'adore. Une cinquantaine de bateaux attendus en provenance d'une bonne dizaine de nationalités et quelques très bons. J'y serai avec Nicolas Honor et Florence Lebrun qui eux navigueront sur le national Italien de RS500.
J'y vais pour ramasser les bouées puisque ma dernière navigation en RS100 remonte au 1er janvier, 45 minutes sur l'eau. Et depuis un an je n'ai navigué que deux fois sur ce bateau.
Dommage d'être le seul français.

Cédric F wrote: Premier championnat du monde ce weekend (vendredi samedi dimanche) à Côme en Italie. Magnifique endroit sauf que le temps annoncé est du froid, de la pluie et pas de vent... Tout ce que j'adore. Une cinquantaine de bateaux attendus en provenance d'une bonne dizaine de nationalités et quelques très bons. J'y serai avec Nicolas Honor et Florence Lebrun qui eux navigueront sur le national Italien de RS500.
J'y vais pour ramasser les bouées puisque ma dernière navigation en RS100 remonte au 1er janvier, 45 minutes sur l'eau. Et depuis un an je n'ai navigué que deux fois sur ce bateau.
Dommage d'être le seul français.

Bravo! thumbsup;

Cédric F wrote: Premier championnat du monde ce weekend (vendredi samedi dimanche) à Côme en Italie. Magnifique endroit sauf que le temps annoncé est du froid, de la pluie et pas de vent... Tout ce que j'adore. Une cinquantaine de bateaux attendus en provenance d'une bonne dizaine de nationalités et quelques très bons. J'y serai avec Nicolas Honor et Florence Lebrun qui eux navigueront sur le national Italien de RS500.
J'y vais pour ramasser les bouées puisque ma dernière navigation en RS100 remonte au 1er janvier, 45 minutes sur l'eau. Et depuis un an je n'ai navigué que deux fois sur ce bateau.
Dommage d'être le seul français.

courage on est tous avec toi, je suis sur que ca na changera pas bcp du we dernier
tu as un lien pour suivre les résultats?
quelles sont les dates exactes?

Petit compte-rendu de ce 1er championnat du monde de RS100 à Côme duquel je reviens dans un état de fatigue physique comme je n'en avais pas connu depuis longtemps.
Nous sommes partis vendredi matin de chez Nicolas Honor en grande banlieue nord avec Nico et Florence. 12 heures plus tard nous voilà à Côme sur la côte nord-est du lac, à Bellano. En ne faisant pas confiance au GPS, Nico nous a rallongé un peu le trajet et le passage de la Suisse à l'Italie s'est fait par un col haut perché et une route de montagne bien difficile avec une remorque. Nous sommes logés dans un hôtel dans la superbe petite localité de Varenna. Le club lui est à Bellano, village tout aussi charmant. Un club à l'image des clubs italiens de lac... Une mise à l'eau de m... et casse-bateau. Le vendredi matin, nous sommes les derniers arrivés et c'est la guerre pour trouver une place sur le parking surchargé du club. Première surprise du côté de la participation : les RS500 sont nombreux (24) avec des concurrents de qualité : Peter Barton, des jeunes Italiens, les Néerlandais et bien évidemment Nico et Florence qui prennent possession de leur bateau prêté par RS. Du côté des RS100, des têtes bien connues dont certaines naviguaient en RS700 il y a quelques années mais par contre moins de monde d'annoncé. Nous sommes 39 bateaux sur les 50 annoncés dont 32 gréements 8,4. Les prévisions météorologiques ont conduit à des désistements de dernière minute du côté anglais et tchèque notamment. Et comme toujours, certains regretteront de ne pas être venu. Il fait certes gris et pas très chaud mais la pluie et l'absolue pétole annoncées ne sont pas là. Le vendredi une petit brise de 8-10 noeuds souffle. Il ne pleuvra pas du weekend et le vent n'ira qu'en se renforçant avec, comme d'habitude sur les lacs italiens, ces phénomènes toujours impressionnants de vent thermique et de bascule soudaine. Le matin, légère brise de nord qui faiblit vers 11 heures pour laisser la place à une brise du sud qui se renforcera le samedi et le dimanche pour atteindre un bon 15-17 noeuds.

Je n'ai clairement aucun objectif sur ce championnat : j'ai trop peu de jour de navigation (1,5) sur le RS100 depuis plus d'un an et je n'ai jamais pu m'entrainer face à d'autres RS100. Et le gréement du RS100 reste pour moi un mystère côté réglage.

Sur la première manche, je prends un départ certes du bon côté mais derrière tout le monde. Première surprise, je ne suis pas ridicule en vitesse et les conditions très oscillantes qui impliquent de virer souvent me permettent de passer de la dernière place au milieu de la flotte. Physiquement, je suis à la limite : c'est déjà du rappel mais sans pour autant avoir besoin de réguler comme un fou et de donner des coups de rein pour maintenir le bateau à plat. Le jeu tactique, comme souvent sur les bateaux lents, est passionnant. Seconde surprise, au portant dans ce petit temps, je n'avance pas et je n'arrive pas à trouver le compromis entre la vitesse et la descente dans le vent. Je reperds des places. Résultat de cette première manche, je suis 21ème. Ne m'attendant à rien, je ne suis pas déçu.
Sur la deuxième et les troisième manche du jour, cela ira beaucoup mieux. Une place de 11 et une place de 8 avec le passage à la première bouée au vent dans les 4 premiers à chaque fois. Mais je commence à comprendre le sens de l'expression "no pain no gain". Les virements s'enchainent pour rester au contact dans ce vent oscillant et les abdos commencent à tirer sérieusement. Le premier soir je suis à la limite de la 10eme place ce qui me ravit. Je me dis qu'avec un peu de vitesse au portant il doit y avoir moyen de faire très bien. Je vais vite déchanter le lendemain et le surlendemain.

Nico et Florence quant à eux sont 4ème au général derrière deux italiens et l'équipage néerlandais (un de ceux qui vient au Der). Peter Barton semble avoir du mal.

Le vendredi soir, petit repas dans une pizzeria au bord de l'eau à Varenna. C'est juste magique, reposant et beau. Une dernière bière au bar-tabac, loto de l'hôtel. Nous assistons à des parties de carte acharnée de vieux italiens qui étaient déjà là le matin au petit dej. On se croirait dans un film.

Le samedi, le temps est un peu plus découvert, le vent est absent et nous sommes donc très pessimistes sur le fait de naviguer sauf le comité de course. Nous partons sur l'eau et là d'un coup le vent monte pour s'établir à 15-20 noeuds pour une journée galère pour moi. Je fais tout mieux que la veille : meilleures manoeuvres, meilleurs départs, et sur le premier croisement, je suis dans les deux ou trois premiers sauf que cela ne dure pas : je n'avance pas au près et tout le monde me passe de partout. Sur le premier bord de près je passe la bouée au vent dans les 15 mais par contre, je regagne 5 place au portant. Sur le deuxième bord de près, je me fait lâcher et me décourage. Pourtant j'essaye de tenir au rappel et je souffre le martyr. Je serais si bien au trap du RS700. Et le chemin de croix se poursuit puisque le Comité de Course a crû bon de nous faire faire 3 tours. 3 longues remontées au près à avoir mal aux genoux, au dos, aux cuisses et à pleurer de voir mes concurrents me passer de partout et faire un rappel qui a l'air efficace et si peu douloureux. La deuxième manche du jour est un vraie catastrophe. Je fais trois trous dans le spi sur un affalage mal négocié, mon hauban se barre enfin plutôt l'axe qui le retient et je n'avance pas : DNF. Sur la troisième manche du jour, c'est toujours la même souffrance mais la vitesse au portant me permet de limiter la casse : 14eme. Je suis donc en milieu de flotte au général après une journée de souffrance sur des bords de près qui sont le purgatoire et l'enfer réunis, tout cela dans un paysage paradisiaque. Le repas coureur est très léger et la douleur physique se poursuit avec un concert de heavy-metal d'un groupe de jeunes italiens qui agressent mes tympans. On est dans la caricature. Nous nous échappons avant de finir sourds pour un bar à vin avec les Anglais dans lequel nous rejoint le délicieux Martin Wadhams, le boss de chez RS arrivé pour la réunion revendeur qui doit se tenir à l'issue du championnat.

De leur côté Nicolas et Florence font eux une bonne journée et montent sur le podium provisoire alors que Peter Barton s'envole au classement avec trois victoires de manche. Les jeunes ritals coincent un peu dans ce vent plus soutenu mais se consolent, enfin je crois, en déposant des réclamations à tire larigot. Je ne comprends pas ce besoin des marins italiens de toujours réclamer.

Le dimanche, après avoir galéré pour réparer mon spi : personne n'a de répare-spi... Nous revoilà partis pour deux longues manches. Je fais l'un des plus beaux départs de ma vie et je suis un peu plus longtemps en tête, jusqu'à l'approche de la bouée au vent que je passe encore dans les 10, je regagne des places au portant avant de m'écrouler sur les deuxièmes et troisièmes bord de près. Et comme hier ce sont des petits gabarits très trapus et hyper énergiques au rappel qui vont les plus vite. 18 et 18 pour ces deux dernières manche. 16 au général. Milieu de flotte. Pas mal si l'on considère le peu (et le mot est faible) d'entrainement sur le bateau mais frustrant d'avoir autant souffert pour si peu de gain. A l'issue de la régate, je n'ai même pas envie d'apprendre à mieux faire du rappel. Qu'on ne ne vienne pas me parler du plaisir du rappel. Il faut être maso.

A Martin Wadhams qui me demande ce que j'ai pensé de ma régate, je lui propose de porter une soumission de changement des règles de la classe RS100 : cette soumission interdirait les régates dans plus de 10 noeuds de vent et supprimerait les sangles de rappel. Il n'est pas convaincu

Nous chargeons les bateaux et partons à l'issue de la remise des prix pour la rive nord-ouest du lac à Gravedona où le lendemain doit se tenir la réunion des revendeurs européens RS à laquelle Nico doit participer.
J'oubliais : Florence et Nico font deux OCS sur les deux manches du jours et terminent au pied du podium. Barton remporte l'épreuve équipé de Heather la secrétaire internationale de la classe devant les Italiens et les Néerlandais. Comment vous dire... On sentait un peu l'arbitrage à la maison sur ces 2 OCS...

Le lundi pendant que Nico est en réunion, nous nous baladons avec Florence sur les hauteur du lac. C'est vraiment magnifique et paisible. A 17h30 nous reprenons la voiture pour arriver à 5 heures du mat à Paris.

Je suis décalqué...

Il y a de fortes chances que cette régate ait lieu dans le sud de la France l'année prochaine : affutez vos RS500 et vos RS100.
Le championnat du monde de RS500 aura quant à lui lieu à Loctudy avec une belle participation.
Et j'ai prévenu que beaucoup de RS800 français seraient à Garde fin juillet l'année prochaine...

Merci pour ce compte rendu bien sympa Cédric.

C'est vrai que le RS100 est relativement étroit, on doit vite être dans les sangles.
D'ailleurs à force de faire du trap. beaucoup ont du mal à revenir au rappel. (J'en ai vu passé quelques uns sur le B14 ) ...
Je vois aussi que tu retrouves les joies de la régate en flotte sur des bateaux évolutifs

A ce propos, ils en sont où des ventes de RS100 ?
Et quels sont les gabarits qui ont marché à Garde ?