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Vendée Globe 2012-2013
Va falloir apprendre à naviguer à plat ...
(Sinon, off-course, je suis 100% d'accord avec les propos de Beyou, la course par attrition c'est pas viable pour le futur de la classe).
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Rémi P wrote: Une sacrée balafre ... Il est dans le sandwich là, non ? :o
Va falloir apprendre à naviguer à plat ...
Ouaips, le nid d'abeilles risque de stocker quelques litres d'Atlantique sud.
quelques passes d'enduit PRB sur cette vilaine balafre et c'est reparti ?
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- François M.
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Question, 20 bateaux 13 jours de course, combien d'obstacles flottant sur les mers du globe?
Probabilité pour qu'un bateau réussisse à faire le tour?
;evil;
Pollueur payeur?
Si vous voulez aller sur leau sans risque de chavirer. Nachetez pas un bateau, achetez une île. [Marcel PAGNOL]
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Ca parait compliquer de se lancer dans l'Indien avec un tel problème ... peut il faire un enroulement fiable ???
François, c'est vrais que statistiquement c'est incroyable toutes ces collisions avec des OFNI ... va falloir remplacer le carbone par du Kevlar comme sur les Cinquo Duvoisin ou Mader, avec des coques double peaux, bumper/crashbox sur quilles partiellement escamotable etc etc ....
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Je ne suis pas sûr que ce soit d'un grand secours pour détecter une bouée à moitié coulée.François M. wrote: De mémoire, il avait allumé le radar.
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- François M.
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Ni même un bateau de pêche en bois...flebas wrote:
Je ne suis pas sûr que ce soit d'un grand secours pour détecter une bouée à moitié coulée.François M. wrote: De mémoire, il avait allumé le radar.
Si vous voulez aller sur leau sans risque de chavirer. Nachetez pas un bateau, achetez une île. [Marcel PAGNOL]
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Malgré la réparation il abandonne
Plus que 5 bateaux dans le groupe de tête.
Comme je l'avais indiqué sur les cartes Vendredi, Armel met maintenant de l'Est dans sa route puisqu'il navigue au 148° ... Par contre Dick continue au 170° :o
Je vais faire tourner le routeur pour comparer ...
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Les grib sont plutôt incertains dans les 72 prochaines heures.
Voilà ce qu'on pourrait voir :
Chaque point représente 6 heures
On a donc un réel choix en tête pour la plongée vers la porte qui pourrait occasionner un changement de leader. On voit cependant, la descente avec plusieurs empannages donc beaucoup d'incertitude dans les prochains jours thumbsup;
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Et on peut blâmer le comportement de Thomson, son côté chien fou, provocateur etc, il n'en demeure pas moins qu'il fait une sacrée belle course pour le moment.
Pour Vincent Riou, c'est vraiment dommage. Ce qui me gêne un peu plus, c'est le sentiment, mais ce n'est qu'un sentiment, que certains coureurs jettent l'éponge un peu vite. On a parfois l'impression qu'une avarie qui remet en cause la victoire finale de ces compétiteurs nés les pousse à arrêter. Lesquels coureurs, qui sont les premiers à toujours chercher la performance, à trouver des solutions technologiques toujours plus évoluées et fragiles, revendiquent ensuite la monotypie lorsqu'ils ont été victimes de leur quête du toujours plus de performance. Le Vendée-Globe va vraiment devoir réfléchir à ce qu'il veut devenir.
Enfin bon espérons que l'Atlantique sud et l'entrée dans dans les quarantièmes permettent de parler du VG autrement que par le nombre de ses abandons.
Breizh Skiff Project, YCCarnac.
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On voit Vincent Riou naviguer avec 2 ris et des drisses pour renforcer les haubans : il craint donc vraiment que son mat tombe.
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Je partage ce sentiment. Pour autant, les avaries qui ont poussé Marc, Kito, Jérémie et Vincent (pour ne citer que les prétendants à la victoire) à abandonner sont toutes largement suffisantes. Finalement, seul Marc GUILLEMOT aurait pu imaginer repartir des Sables, mais remonter une quille non-d'origine sur Safran et partir sur un tour du monde sans faire le moindre test préalable, même un compétiteur du dimanche ne s'y risquerait pas.Cédric F wrote: Ce qui me gêne un peu plus, c'est le sentiment, mais ce n'est qu'un sentiment, que certains coureurs jettent l'éponge un peu vite. On a parfois l'impression qu'une avarie qui remet en cause la victoire finale de ces compétiteurs nés les pousse à arrêter.
Bon, mais je crois aussi que ce sentiment provient du souvenir très profondément ancré d'un certain Yves PARLIER, réalisant un four de fortune dans la cabine de son 60 pieds pour remettre son mât en un seul morceau et terminer son Vendée Globe. Et c'est vrai que l'on ne voit plus guère qu'un amateur, qui vit une histoire personnelle, pour réaliser ce genre de "fantaisie" de nos jours... ;rolleyes;
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Fréd wrote:
Je partage ce sentiment. Pour autant, les avaries qui ont poussé Marc, Kito, Jérémie et Vincent (pour ne citer que les prétendants à la victoire) à abandonner sont toutes largement suffisantes. Finalement, seul Marc GUILLEMOT aurait pu imaginer repartir des Sables, mais remonter une quille non-d'origine sur Safran et partir sur un tour du monde sans faire le moindre test préalable, même un compétiteur du dimanche ne s'y risquerait pas.Cédric F wrote: Ce qui me gêne un peu plus, c'est le sentiment, mais ce n'est qu'un sentiment, que certains coureurs jettent l'éponge un peu vite. On a parfois l'impression qu'une avarie qui remet en cause la victoire finale de ces compétiteurs nés les pousse à arrêter.
Bon, mais je crois aussi que ce sentiment provient du souvenir très profondément ancré d'un certain Yves PARLIER, réalisant un four de fortune dans la cabine de son 60 pieds pour remettre son mât en un seul morceau et terminer son Vendée Globe. Et c'est vrai que l'on ne voit plus guère qu'un amateur, qui vit une histoire personnelle, pour réaliser ce genre de "fantaisie" de nos jours... ;rolleyes;
C'est très vrai... A la fois pour les avaries qui ont causé les abandons de tous (un peu plus dubitatif sur Riou, que pour l'impact de Parlier dans la mémoire collective. Mais attention à ne pas enlever toute dimension "aventure" au VG.
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Là, je ne suis pas d'accord. Il a réalisé la réparation à la fois de la coque et de tube carbone de l'outrigger mais, sur ce dernier, c'est quand même super risqué d'aller se faire tout le tour de l’Antarctique avec une réparation dont dépend le maintien du mât en position verticale et dont les qualités mécaniques ne sont pas validées. :o Et je crois que c'est vraiment sur ce point que la décision d'abandon a été prise et non sur la question de la coque.Cédric F wrote: un peu plus dubitatif sur Riou
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Il a déjà donné en 2008 lors du sauvetage de Le Cam, je suppose qu'il est bien placé pour savoir ce que ça représente un démâtage suite à un pb d'outrigger.
Un dématage qui se passe mal, ça peut être la perte du bateau, sans compter le bonhomme.
Techniquement, on peut se poser la question de la vulnérabilité des gréements avec outrigger.
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flebas wrote: Techniquement, on peut se poser la question de la vulnérabilité des gréements avec outrigger.
+100% tu m'ôtes les mots de la bouche.
Ce qui me surprend, si j'ai bien compris, c'est que le "cable de carbone" dont il est question, est en fait une sorte de bas hauban. Ca me surprend qu'on ne puisse pas réparer en le remplaçant avec un filin ...
Mais je ne peux m’empêcher de penser que si le bateau est couché par une vague ou très forte rafale, si l'outrigger touche, il doit facilement casser (ou son haubanage).
Bref un dispositif certes performant, mais qui n'est surement pas un facteur de fiabilité
Sur Macif c'est particulièrement surprenant
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Vu les angles, la charge sur le tirant doit bien être 4 fois celle qu'il y a sur le hauban, donc le "filin" va devoir répondre à des contraintes élevées, surtout en terme d'allongement. Je pense surtout que le problème est l'ancrage dudit filin, il ne doit pas y avoir beaucoup de place sur la cadène, et la lumière dans la coque est calculée au plus juste.
Même sur nos bateaux où les efforts sont bien plus faibles, remplacer un bout de hauban en inox par du textile n'a rien d'évident.
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Thomson ou Boissières ?
OFNI ou défaut structurel ?
les paris sont ouverts...
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C'est devenu le sujet de rigolade à la mode d'ici jusqu'aux Guignols (c'est dire!! ;rolleyes; )
Le moindre abandon et c'est reparti, la course finira sans compétiteurs, Pen Duick VI ou III aurait gagné, les skippers n'ont plus les co.....s, etc etc...
Ce qui est plutôt frappant c'est que sur 7 abandons au final, il n'y a guère que Sam Davies et Gutek qui abandonnent "normalement" sur fortunes de mer "classiques". démâtage pour l'une, panne de pilot pour l'autre..
Les autres ce sont des collisions diverses et variées (OFNI, ou pêcheur) Si la question des collision avec les pêcheurs devraient pouvoir se gérer avec des règles (encore des règles!!) plus strictes (AIS non déconnectable?) la question des OFNI est hélas insoluble sauf à imaginer que l'humanité devienne immédiatement totalement vertueuse en ne considérant plus la mer comme une poubelle... Ce qui d’ailleurs en mettrait pas à l'abri des débris provenant d'autres fortune de mer (container ou billes de bois perdues par le scargos lors de gros temps...)
Et là aucun réglement, aucune monotypie, ne parviendra à régler la question sauf à transformer les bateaux en cuirassé ou en brise glace pour pouvoir s’affranchir des icebergs donc des portes de sécurité...
Lyman N°55055 - 1958
Guépard N°114 - 2012
Site Web: www.tgmp-architectes.fr
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Yabsinthe wrote: www.slate.fr/story/65259/vendee-globe-aucun-vainqueur-abandons
CQFD... ;rolleyes;
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