Premier investissement skiff pour équipage mixte

Excellent compte rendu !

ça me rappelle notre premiere sortie en L4000 (pourtant plus stable..) dans les rouleaux à St Lunaire. Mise à l'eau, le ber se fait la malle, pendant que l'équipier court après, le bateau se couche et c'est la dérive qui s'en va sous l'oeil hilare des baigneurs..
Enfin le plaisir est quand même rapidement au rendez-vous, courage

Finalement le plus dur en RP, c'est le plan d'eau !!

Bonjour tout le monde,

Merci pour vos nombreuses réponses ! Je vais essayer de rebondir sur tout ce que vous avez dit.

Aspects pratiques
- Laisser le bateau dans un club : nous y pensons mais nous devons choisir le club avant. A priori, nous serons à Viry samedi. Il ne restera plus qu’à trancher entre Moisson, Viry et le tout petit plan d’eau à 5 min de la maison (tout petit mais juste à côté, ça permet de s’entrainer beaucoup plus…) dontknow; . Une fois le club choisi, le 800 y restera probablement une bonne partie du temps.
- Missiles nord-sud : du moment que ce ne sont pas des torpilles, notre mat ne risque rien. Prévenez-nous quand même en cas d’attaque chimique ou nucléaire…
- Appareil photo étanche : ça va être dur pour deux raisons. 1 : pas encore assez à l’aise sur l’eau. 2 : plus de budget (achat du 800 et moto en panne depuis hier). Mais à terme nous vous ferons de zolies photos de la dérive, promis.

Réglages
- Grand voile en forme de papillote : ça m’embête quand même vachement. A voir samedi. scratch;
- Bas haubans détendus : je reste preneur d’un petit cours même si j’ai bien reçu votre message comme quoi c’est OK pour les bas haubans détendus. En effet, nous avons réglé les haubans et l’étai au pifomètre dimanche dernier.

Notre progression
- Besoin d’un coach : en effet, il serait bien de rencontrer quelques personnes du forum, à l’occasion, pour que vous puissiez pointer du doigt nos gros défauts et nous donner des billes.
- Photos des problèmes : j’ai regretté de ne pas l’avoir fait dimanche ; sera fait dès la prochaine fois. thumbsup;
- Mise à l'eau en tenant par les haubans : OK. En se tenant au vent ou sous le vent du bateau ? L’autre main sur l’étrave quand même ?
- Maintenir à plat avec la grande écoute plutôt que le gouvernail : j’ai eu du mal à le sentir dimanche vu que la GV faisait beaucoup de turbulences à cause de sa forme bizarre. Je garde ce conseil en tête pour la prochaine sortie et je vous fais un feedback.
- Utiliser les trapèzes : je pense que nous allons laisser venir les choses naturellement, commencer par augmenter notre levier de rappel en nous décalant au vent, puis passer le crochet petit à petit, puis un jour nous nous jetterons à l’eau. Après concertation, notre stratégie sur le trapèze : pas de précipitation pour bien prendre le temps de sentir le bateau. Résumable en « bétonner, avancer, bétonner, avancer » ou encore « aller lentement pour aller vite ».

On retient :
- Nous serons probablement à Viry samedi
- Nous serions preneurs d’un petit cours sur le réglage des haubans et de l’étai
- Prochaine sortie, focus sur : bien gréer la GV, mise à l’eau en tenant les haubans (au vent ? sous le vent ?), tenir à plat avec la GV, augmenter le levier du rappel.
- Photos si problème

Au plaisir de lire vos réponses !

Au vent, tenir le bateau au vent!

Merci en tout cas pour cette démarche d'analyse extrêmement constructive! J'envie cet esprit de synthèse et de progression humble et efficace.

Ouaip,
parce que nous, on a été bons de suite, sur nos bateaux... :-X
Je me rappelle mes débuts en Rs600 à Lyon... Les amis du club : "Tiens, voilà le petit baigneur!" angry5;

Hello tout le monde,

Ci-dessous un "flash report" de notre deuxième nav :

Samedi 15 mai 2010
Lac de Jablines

L'endroit
- A une heure de voiture de la maison
- Magnifique plan d'eau, beaucoup d'oiseaux, plus petit que Moisson mais belle surface quand même
- Gens de la base de loisir et du club très sympas
- Vent très irrégulier ! (Pétole à bateau couché avec 140 kg au rappel)

Notre nav
- Mise à l'eau à 18h, seuls dans l'eau, sécurité bof du coup
- Sortie de l'eau à 20h
- Pas de dessalage mais bien failli sur une rafale et un changement de direction du vent ~90° (ça fait bizarre :o )
- Ni spi ni trap (j'ai commencé à essayer le trap en barrant mais ai vite abandonné)
- Haubans plus tendus et guignol complètement souqué : la GV se plie moins mais les lattes forcées ont toujours du mal à passer

Exercices à continuer
- réglages pour que les lattes forcées passent bien
- régulation à la GV, pas à la barre
- trouver les repères sur les réglages de foc et de GV: je passe mon temps à me demander si nos réglages ne sont pas absurdes au lieu de faire de la finition. Cap difficile à passer dans un vent aussi irrégulier...

Exercices à commencer
- Déssaler / ressaler sans spi. Nous attendons une nav avec du monde sur l'eau pour la sécurité.
- Equipier au trap si le vent le permet.

A bricoler
- Sécuriser la dérive au cas où le bateau ferait un chapeau
- Accrocher un cubi de villageaoise en haut du mat pour éviter le chapeau
- J'oubliais : vider un cubi de villageoise

En résumé, nous avons trouvé un endroit sympa répondant à beaucoup de nos critères. Reste à voir si le vent n'y est pas trop irrégulier. DES MOTIVES POUR NOUS Y RETROUVER ??

Voilà, à très bientôt !

Bonjour,

Très chouette ces rapports de vos sorties! Et bien écrits, en plus! thumbsup;

Pour la peine, si tu continues à les faire régulièrement, ça pourra certainement donner matière à un excellent journal à destination des futurs débutants!

Je vois que tu n'as pas eu de réponse à la question "au vent, sous le vent" pour tenir le bateau lors de la mise à l'eau:

Il s'agit de se mettre au vent du bateau, en tenant soit le hauban, soit le bout avant de l'échelle.

Les 800istes confirmeront...

Chez nous, pour le 29er, l'équipier (moi) tient le bateau de la sorte en prenant dans la main arrière soit le hauban, soit le liston à la base du hauban, et dans la main avant le "mast partner" (la partie transversale sous le pied de mât). Pour être moins secoué par les risées/rotations de vent, je maintiens le bateau contre-gîté si besoin.

Je crains malheureusement que Jablines ne soit pas injustement réputé pour ses sautes de vent. ;rolleyes;
Les spécialistes du coin confirmeront.
A 1 heure de chez toi, si tu est plus Est, tu peux peut être envisager le lac du Der ou celui de la forêt d'orient.

François M. écrit:

Je crains malheureusement que Jablines ne soit pas injustement réputé pour ses sautes de vent. ;rolleyes;
Les spécialistes du coin confirmeront.
A 1 heure de chez toi, si tu est plus Est, tu peux peut être envisager le lac du Der ou celui de la forêt d'orient.

Si mes souvenirs sont bons, c'est plutôt la Picardie qui est la région de nos apprentis skiffeurs... Il n'y a pas de plan d'eau très vaste dans ce coin-là et encore moins de skiffeurs ! Finalement, peut-être que de retrouver Jean-Louis à Viry pourrait être un bon compromis, au moins pour démarrer. Ça fait un peu loin, mais en laissant le bateau gréé sur place, ça gagne pas mal de temps !

Hello,

Après quelques semaines de boulot intensif, nous avons enfin pu dégager un peu de temps pour faire notre troisième sortie. C'est parti !

Dimanche 6 juin 2010
Saint-Leu d'Esserent

L'endroit
- A 5 minutes de voiture de la maison
- Accueil charmant
- Tout petit plan d'eau (16 ha), vent très irrégulier
- Le seul autre skiff parké sur place est un ISO

Contexte et objectif
- Contexte : après deux sorties (Moisson et Jablines), nous n'avons ni dessalé, ni fait du trap, ni envoyé le spi.
- Objectif annoncé : dessaler plusieurs fois sans avoir envoyé le spi (=> permet de commencer le trap plus sereinement). Si les ressalages se passent bien, envoyer le spi et dessaler pour essayer d'avaler le spi dans l'eau (=> permet d'envoyer le spi plus sereinement).

Mise à l'eau
- 1h20 entre la remorque et la flotte => progrès
- cubi de 5L attaché à la têtière de GV
- MacLube dans : rail GV, puits de dérive, aiguillots gouvernail
- Mise à l'eau difficile : vent irrégulier à l'endroit de la cale(orientation et force)avec interdiction de coucher le bateau (un mur juste à côté). Ambiance...

Nav
- Déshydraté au bout de 5 min, des raffales, il ne m'a pas fallu 15 min pour ressentir les premiers signes de fatigue
- Après avoir tiré une vingtaine de bords, nous décidons de faire trempette. Nous mettons le bateau à la gite maxi sur un bord complet, sans résultat (pas loin quand même...). Je dis : "OK, on vire et on réessaye. OK ? On vire et on réessaye ?". Là, on vire et... plouf. On n'a pas eu le temps de réessayer. Je ne savais pas que les bateaux anglais comprenaient le français, je ferai un peu plus attention à ce que je dis la prochaine fois.
- Nous voilà donc à la flotte. Enfin pas complètement. Mon équipière est passée entre la coque et la bôme et moi, je suis suspendu comme un singe à l'échelle en essayant de ne pas la rejoindre. Tu parles, je n'ai rien trouvé pour poser mes pieds et suis allé me vautrer lamentablement dans un sac de noeuds d'écoutes de foc et de gv, de lignes de trap, de drisse de spi, ... la grande classe.
- Et là : oups, le bateau est en train de se retourner doucement, malgré le cubi. Ce n'est pas le première fois qu'un cubi me trahit de toute façon. Je me précipite donc vers la dérive d'un crawl svelte et décomplexé en poussant en hurlement plein de douceur et d'amour à mon équipière : "METS LES ECOUTES AU CLAIR ! DECOINCE TOUT ! VITE !". Après avoir crié ça 5 ou 6 fois, je m'attendais à me faire plaquer, mais je crois que ma nage olympique evoquée plus haut lui a tappé dans l'oeil... BREF
- Je monte sur la dérive, tel un crapaud, et me rends compte que j'ai oublié de mettre un bout de ressalage. Sur le coup, je pense pouvoir remonter ma moitié avec le bateau, entre la bôme et la coque, mais rien à faire. Ca ne bouge pas d'un poil. Du coup, elle va faire ancre flottante à l'avant et le bateau commence à se redresser au bout de deux minutes.
- A cet instant précis, je suis complètement partagé entre l'image de moi en train d'emjamber l'échelle et de remonter à bord pendant que le bateau finit de se redresser et la réalité des faits : le bateau s'est redressé, je l'ai pris sur la gueule, il va falloire monter à bord alors que les écoutes se sont recoincées, grand voile bordée. Génial... Epuisé, je n'arrive pas à remonter par l'arrière mais par le côté. Le président du club de voile, sur sa sécu, me dit de relever la dérive (pourquoi ?). Ma moitié monte par l'arrière.
- Epuisés, nous tirons un vingtaine de bords et rentrons. Rebelotte la panique sur la cale, ... d'autant plus qu'il a bien fallu une minute pour décoincer la dérive. Nous ne comprenons pas pourquoi elle se coince autant.

Choix du spot
Nous nous orientons vers la solution suivante :
- création d'opportunités de plaisirs rapides : abonnement à Saint-Leu d'Esserent, à 5 minutes de la maison. Spot que nous partagerons bientôt avec Nicolas Honor, de surcroît.
- Journées dédiées : Jablines, forfait à la journée.
- Vancances, pure éclate : Manche, Atlantique

Next steps et questions
- Comprendre le vice de la dérive et réparer. (Des idées ?)
- Assurer la dérive.
- Bout de ressalage : fixé en pied de mat ?
- Améliorer notre technique de ressalage et de remontée à bord : des best practices ?
- Cubi : 5L suffisent-ils ?
- Bidon étanche embarqué pour une bouteille d'eau et un snack.
- Toujours le problème des lattes forcées.
- Se tenir moins accroupis et plus debout.

Merci d'avoir pris le temps de nous lire. Nous attendons vos conseils avec impatience.

Amusez-vous bien de votre côté et à très bientôt !

Toujours aussi plaisants, tes comptes rendus, mon cher Venturi. Je prendrai un peu de temps dans l'après-midi ou dans la soirée pour répondre à tes questions, à moins que les spécialistes du RS 800 n'aient fait fumer leur clavier d'ici là...

+ Pour la dérive, il y a une technique qui consiste à donner un coup de talon sur la dérive completement basse de l'arrière vers l'avant (sur le coin arrière de la dérive) normalement après ca vient tout seul.

+ Pas besoin de bout de ressalage tu prends l'écoute de spi des 2 cotés de la poulie et ca marche

+ techique de ressalage, le fait de ramasser l'équipier fonctionne mais il est impératif que l'équipier se laisse floter (écoutes et halebas choqués), quand la voile commence à sortir de l'eau et prendre le vent attendre que le bateau pivote face au vent

+ Pour remonter sur le bateau soit tu arrives à remonter à la volée, soit tu passes par devant l'echelle (en t'appuyant sur la coque et l'echelle), le risque de monter par l'arrière est de faire abattre le bateau (sauf s'il est redressé et scotché dans l'axe du vent)

+ pour les lattes tu tires un gros coup sur le cuni pendant le virement

+ Plutôt qu'un bidon étanche, il faut mieux fixer une bouteille à tribord sur le montant de l'echelle avec des elastiques et embarquer quelques barres de céréales dans la poche du gilet.

+ Pour moins chapeauter tu peux étancher ton mat avec du silicone

C'est tout de même malheureux d'avoir un cubi de 5litres, et de crever la soif...

Pour la dérive, est-ce que le fait d'avoir une bande de velcro (côté bouclette) sur la partie supérieure du puits, n'améliore pas les mouvements de la dérive dans son puits?

Bref, en la serrant un peu plus, le velcro évite qu'elle ne se coince...
C'est une constatation sur le Rs700, mais je ne sais pas si c'est applicable au 800 !

Effectivement,
le bidon en tête n'empêche pas de chapeauter, si l'équipage reste suspendu au bateau par l'intermédiaire des échelles...
Mais si tu prends le soin de dégager rapidement toute pression sur le mât,
cela fonctionne très bien!

Venturi écrit:

- Déshydraté au bout de 5 min, des raffales, il ne m'a pas fallu 15 min pour ressentir les premiers signes de fatigue

Effectivement, embarquez une ou plusieurs bouteilles d'eau (ou des gourdes type vélo) à bord et choisissez la contenance en fonction du temps prévu sur l'eau (temps au sens durée de la nav' ET météo !).

je suis suspendu comme un singe à l'échelle en essayant de ne pas la rejoindre [...]
Et là : oups, le bateau est en train de se retourner doucement, malgré le cubi

La deuxième phrase est très certainement la conséquence de la première, comme le souligne Benoît !

je pense pouvoir remonter ma moitié avec le bateau, entre la bôme et la coque, mais rien à faire

Comme l'indique Vincent (dit "La Marmotte"), il est impératif que l'équipier fasse la planche afin qu'il n'exerce aucune pression sur le bateau jusqu'à ce que ce dernier soit réellement ressalé.

le bateau s'est redressé, je l'ai pris sur la gueule

Le mouvement est plus doux lorsque l'équipier est à bord au moment où le bateau termine son redressement, ce qui laisse plus de marge de manœuvre à celui qui était sur la dérive. En théorie, il a ainsi plus de temps pour remonter directement de la dérive dans le bateau. Encore faut-il qu'il puisse soit passer par l'extérieur de l'échelle (implique qu'elle soit suffisamment rentrée, sinon il faut mettre ses bottes de 7 lieux...) ou par l'intérieur (implique qu'elle soit suffisamment sortie, sinon il faut mettre un corset !).

il a bien fallu une minute pour décoincer la dérive. Nous ne comprenons pas pourquoi elle se coince autant

Ce n'est pas très étonnant si, comme souvent, elle se coince en basculant légèrement sur l'arrière. Il n'est alors pas très compliqué de la décoincer, mais certainement pas en tentant de la remonter telle quelle. Comme le dit Vincent, il faut lui appliquer un mouvement lui permettant de se remettre bien dans l'axe du puits. Le coup de talon n'obtient pas forcément mon suffrage, mais il peut arriver qu'il faille en arriver là si les mouvements imprimés à la main n'ont pas l'effet escompté...

création d'opportunités de plaisirs rapides : abonnement à Saint-Leu d'Esserent, à 5 minutes de la maison. Spot que nous partagerons bientôt avec Nicolas Honor, de surcroît.

Pas d'hésitation à avoir ! Je m'étonne un peu de Nicolas Honor, que je croyais sudiste de surcroît (à chacun son surcroît ! ), s'installe à la base de St-Leu, mais c'est assurément auprès de lui qu'il vous faudra multiplier les opportunités de nav', car je ne sais pas si vous pourrez trouver meilleur conseil à des lieux à la ronde. Surtout si vous arrivez à le faire monter à bord, chacun votre tour, pour qu'il vous fasse part de son expérience en situation réelle ! thumbsup;

Amusez-vous bien de votre côté et à très bientôt !

Venez donc nous voir à Plérin ! Certes, c'est un peu loin, mais c'est vraiment là que vous progresserez de la manière la plus significative. D'une part en passant beaucoup plus de temps sur l'eau, d'autre part dans des conditions nettement plus favorable (plan d'eau avec du vent stable !).
On compte sur vous !

Merci pour vos conseils.

Pour la dérive, j'appliquerai votre méthode en attendant de pouvoir la montrer à Nicolas. J'aiemerais aussi creuser la piste du velcro mais je n'ai pas tout compris. Auriez-vous une photo svp ?

Pourquoi fixer la bouteille d'eau à tribord ? Je sens que je vais me sentir bête mais là je ne vois pas du tout...

Compris pour que le bateau ne fasse pas de chapeau :
- ne pas rester suspendu. Soit j'arrive à enfoucher l'échelle tout de suite, soit je passe directement à la flotte.
- étanchéité du mat. C'est vrai que ça a l'air pratique mais ça doit être un peu crade non ? Je vais compter les trous du mat la prochaine fois

Pour le bout de ressalage, je n'aurais pas osé tirer de tout mon poids sur la poulie mais c'est vrai qu'en réfléchissant, le spi doit bien tirer quelques dizaines de kg dessus donc...

Pour ce qui est du rôle de l'équipier pendant le ressalage, je suis un peu perdu. Ma moitié faisait déjà la plache hier, sans succès (peut-être parce que ,la GV était mal choquée). Le président du club nous a dit que la seule possibilité était qu'elle tienne le bateau par l'avant. En même temps, il semble possible de la remonter avec le bateau.
=> est-il imaginable qu'elle tiennele bateau par l'avant puis qu'elle passe sous le foc qui commence à sortir de l'eau pour se glisser dans le bateua ? Ca ne me convainc pas sur le papier

@Fred : merci pour l'invitation. Ca fait un peu loin pour le moment. Néanmoins, nous comptons faire la côte en juillet ou en août. Ca peut être une occasion de naviguer ensemble thumbsup;

A+

Pour le dessalage, choquer les écoutes c'est bien, mais il faut aussi choquer le hale-bas.

Pour le 800 je ne pense pas que la solution du velcro marche tellement il y a peu de jeu, quelqu'un à déjà essayé ?

La bouteille d'eau à tribord parce que sinon elle risque de comprimer la baille à spi, ce qui n'est pas top pour l'affaler

Pour les trous tu peux faire ca proprement, autre solution moins étanche, le scotch.

inutile de mettre quelqu'un à l'avant et ta solution ne me semble pas très réaliste, l'avantage de ramasser l'équipier, c'est que sa stabilise le bateau et permet d'avoir quelqu'un immédiatement à la barre pour mettre le bateau face au vent.

Dans l'ordre :

1) dessaler
2) un sur la dérive un qui choque tout y compris le halebas
3) le dit équipier se laisse flotter allonger entre bome et bateau
4) le zozo sur la dérive décolle la voile de l'eau et attend que le bateau se mette face au vent (il tourne tout seul)
5) le zozo de la dérive ecarte ses kilos du centre du bateau
6) dans le bon timing tout le monde peut se retrouver dans le bateau, ou alors faire de la grimpette par l'avant de l'echelle

Un équipier à l'avant peut servir uniquement dans la houle quand les vagues font abattre le bateau une fois qu'il est presque ressalé et l'equipier déjà dans le bateau, c'est le zozo dérive qui s'y colle.

Merci La Marmotte,

C'est très clair. On essaye ça la prochaine fois, parole de zozo sur la dérive.

A+

Pour la derive, peut etre que vous tentez de la remonter alors que le bateau est trop en appui sur celle-ci. abbatre ou lofer un peu !

a+ gil rs600

Je suis expert en dessalage de 800

(n'est ce pas Emilien ?)

On est tous experts en dessalages

Attention si vous remontez par l'arrière, ça rape les tibias si on glisse !