Moi pas comprendre

Je n'y pige plus rien!!!

Ce week-end nous étions en régate dns la pétolle la plus totale, avec un maximun de 1 à 2 bft à tout cassé.

Depuis une semaine nous avons remis à neuf une partie des cordages de notre bateau et de ce fait, j'ai ralongé la course de mon hale-bas. Avant nous avions toujours une certaine tension dans la gv et au pré avant et dans le petit temps nous avion un bon cap et une bonne vitesse maintenant que mes repères ont changé et par rapport à un autre rs800 nous avions un bon 5° de cap en moin à vitesse égale. Alors je rejoint le début de ce sujet qui parlait de prendre du hale-bas dans la pétole?

Autre question que je me pose... Depuis que les températures augmentent (je pense que c'est la cause) ou alors notre mât fatigue (autre possibilité treè concrète car on l'a déjà descendu et manchoné l'année passé), j'ai remarqué que les tensions dans le grément diminuaient assez fortement (du fait que le carbon se dilate moin que les haubans en acier, ou que le mat se rassouplisse), pour conserver les bonnes tensions, nous avons repris de la tension dans l'étais, ce qui a eu comme incidence de diminuer la quête (le mât est plus sur l'avant) est-ce que cette différence peut jouer sur le cap?

sinon que faut-il faire pour conserver une vitesse correcte en aynt un bon cap?

??? ??? ???

Autre question...

Dans le petit temps, j'ai toujours aimé navigué avec des voiles creuses pour leur donné de la puissance et une chute déversante, maintanant que je remet en question tous mes semblants d'acquis...

Est-il plus éfficasse d'applatir les voiles afin de les utiliser comme une "lame" dans l'air.

Ceci dit bien sur que les airs sont très faibles et qu'il n'y a pas de clapot.

Je n'y pige plus rien!!!

Ce week-end nous étions en régate dns la pétolle la plus totale, avec un maximun de 1 à 2 bft à tout cassé.

Depuis une semaine nous avons remis à neuf une partie des cordages de notre bateau et de ce fait, j'ai ralongé la course de mon hale-bas. Avant nous avions toujours une certaine tension dans la gv et au pré avant et dans le petit temps nous avion un bon cap et une bonne vitesse maintenant que mes repères ont changé et par rapport à un autre rs800 nous avions un bon 5° de cap en moin à vitesse égale. Alors je rejoint le début de ce sujet qui parlait de prendre du hale-bas dans la pétole?

A mon avis (j'ai pas d'explication et j'en cherche pas vraiment ...), la regle est la suivante :

Des que tu as assez de pression pour avoir une personne au trap (sur le RS 800, c'est peut etre equivalent a avoir les deux equipiers au vent), tu prends du halebas, et sans trop de demi mesure.

Pour les voiles plates heu ... comme ca je dirais que non vu la tete de ma GV hier

T'as GV était assez plate non?

Bon maintenant une autre question... Quand je prend du hale bas dans le petit temps, ma GV se plisse dans la partie basse le long du mât, alors pour rectifié ses plis, obligé de prendre du cuni, qui dans ma façon d'interprété les réglages... est un moyen pour diminuer la puissance de la GV, ceci me semble contradictoire avec ce que l'on recherche dans du petit temps...

Et au noveau de lécoulement laminaire, les plis sont pèas les bienvenus car ils freinent lécoulement en créant des turbuences!

et oui, il faut choisir...

perso, quelques plis, en bas, le long du mat ne me posent aucun problème de conscience !

Pour ma part la puissance est nécessaire pour passer les vagues. Donc dans le petit temps et par mer plate j'opte pour la GV plate (HB + cuni). Si la voile est trop creuse, il est difficile d'avoir un écoulement super laminaire (toujours par petit temps) car les 2 ch'tites particules qui se séparent au guindant (l'une vers l'intrados, l'autre vers l'extrados) arrivent difficilement à se rejoindre au niveau de la chute car celle de l'extrados manque de "patate" pour courrir toute la distance jusqu'à la chute.
Cette vision assez simpliste n'engage que moi (et un peu un certain B Cheret )

T'as GV était assez plate non?

Bon maintenant une autre question... Quand je prend du hale bas dans le petit temps, ma GV se plisse dans la partie basse le long du mât, alors pour rectifié ses plis, obligé de prendre du cuni, qui dans ma façon d'interprété les réglages... est un moyen pour diminuer la puissance de la GV, ceci me semble contradictoire avec ce que l'on recherche dans du petit temps...

Et au noveau de lécoulement laminaire, les plis sont pèas les bienvenus car ils freinent lécoulement en créant des turbuences!

Non, creuse et assez franchement (c'est juste Quentin qui la trouve plus plate. En fait le creux est plus bas que sur l'ancienne).

Dixit Howie Hamlin quand on lui a parle des plis dans la GV : "You just don't need to care about waves in the main ..."

Une chose est sur, hier fallait surtout pas prendre de cuni !!

Ce matin, je le prends pour comprendre...

lors de la prise du hale bas, la mise en tension produit 2 effets qui se sentent de manière trés distigtent:

Au début : le hale bas tire sur la gv et referme la chute sans pour autant modifier le cintre du mat,

ensuite, la chute étant tendu au max, il agit sur le citre en la raplatissant.

en restant toujours dans les même conditions de nav, quand faut-il arrêter de le prendre?

en restant toujours dans les même conditions de nav, quand faut-il arrêter de le prendre?

Quand t'es au fond ! Plus serieusement, a mon avis y'a pas de reponse a cela a part : Jusqu'au moment ou en prendre plus te ralentit... mais c'est pas forcement evident de sentir ce moment.

Moins serieux
Si tu es a fond de halebas et que tu as l'impression de pas vraiment avancer, bin tu en relaches un peu pour voir si ca va mieux ... si tu es au milieu, c'est plus difficile

Petit Hors Sujet pour Andreas:

merci, j'ai réussi. Mais j'avoue que je n'ai pas compris le troisième machin clicotruc avec toujours-une heure et tout ça. Peu importe.
et comment on met la photo dans le post sous le nom?

Andreas:

-> www.breizhskiff.com/forums/index.php?topic=4431.0

pour éviter de poluer plus ce topic !

Sur le 29er, j'ai l'impression que je peux prendre tout le hâle-bas que je veux et que ca n'applatit jamais la GV, ou vraiment très peu, et sur la fin, quand moi j'arrive plus à le tirer et que y'a que Jo qui peut en prendre encore. Je comprends pas vraiment pourquoi, mais chaque fois que je relâche du hâle-bas, même dans la pétole, je ralentis.

Bon, je suis pas à fond à fond quand y'a pas d'air non plus. Mais je dirais que sur une échelle de 1 à 10, 10 étant le décrochement du dos tellement tu as tiré sur ton hâle-bas, et bin je suis à 8 au minimum.

Note que ca simplifie les réglages : le hâle-bas pour donner de la puissance et le cuni pour aplatir... Trop facile le twenty...

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Hier j'ai eu une discussion super instructive avec Zalonghi (l'un des deux associé de ZR Concept) qui m'a expliqué dans le détail les écoulements laminaires, maintenant je suis acquis à prendre du hale bas dans la pétole sur un pan d'eau plat, ça rejoint le principe du message de JB et me semble de plus en plus cohérent de s'aracher la peau des mains sur ton hale bas et même un peu sur le cuni...

merci à tous pour ces explications

Mais alors,,, dans quelles conditions on prend pas de hale bas ?

Mais alors,,, dans quelles conditions on prend pas de hale bas ?

Moi je dirai quand la mer est importante par rapport au vent.
Car dans les vagues au pret, la vitesse du bateau ne peut pas être constante. Ainsi le vent apparent n'est pas stable (en direction comme en vitesse). La voile vrillée est donc moins efficiente sur toute sa surfance mais plus polyvalente.

Et également il faut le lacher au portant

Et puis aussi dans la pétole molle quand le vent procure peu de sensations.
Une voile blindée diminue encore les sensations.
Donc, on lache tout et dès qu'on sent du vent, on blinde. Puis dans la molle suivante, on relache tout, etc...

Au portant on relache du hale-bas, mais pas trop, il faut rester laminaire et avec nos vitesses, il faut rester fin.
Les différences de vitesse au portant se font beaucoup sur le réglage de la grand voile, creux et angulation.

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Trèèss volontier

d'accord pour pas de hb dans la pétole molle, l'écoute prends le relais: blindée dans les risées et choquée pour ouvrir et relancer quand le bateau ralenti.Cela devient faux dès qu'il est possible de s'assoir sur le liston.
Pour ce qui est d'une mer formée, il me semble que le plus efficace est de gérer le hb de la même manière mais en mollissant les bas haubant, le bateau réagit de lui-même aux coup de frein et il n'est plus possible de faire autant de cap donc bas-haubant plus mous=chute plus ouverte et réponses automatiques du gréement. Le déplacement de nos bateau ne nécessite pas la recherche de puissance des tradi (4000 compris...)