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flotteur tête de mât
Oui. C'est même le premier truc à faire.NicodeLyon wrote: Ah, j’ai oublié, quand le bateau est chapeau, es ce qu’il est vraiment important de choquer le hale-bas, si l’écoute de GV est choquée ?
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Ça dépend de la profondeur de l'eau là où tu navigues, et de tes relations avec ton assureur.wal wrote: Soyons fous... Je le dis : je trouve ça moche les cubis !!! En tête de mat on dirait le grelot du chapeau de bouffon ;o) houla... Vais avoir des problèmes moi ;o) Je crois que je préfère encore chapeauter.
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Il faudrait essayer avec 2 bouteilles pour voir si 10 l d'air empêchent le chapeau ?
Ex RS500XL 675
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- NicodeLyon
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Si j’arrive à en avoir deux, je commencerai comme ça, puis je diminuerai . j’ai vu ton debrif de hier, sympa. Je pense que vous avez eu plus chaud que nous samedi : 4° a l’exterieur, 12 dans l’eau, c’est pour ça qu’on a chaviré 5 fois, on étaient mieux dans l’eau
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NicodeLyon wrote: Depuis 7 mois, as tu eu la possibilité d'utiliser la Bouée snorkeling SB100 de decath,
je cherche un moyen de pas faire chapeau a chaque fois sur un RS500, et pouvoir aussi naviguer seul par petit temps.
Sinon je sais que j'ai la possibilité de mettre une outre de cubi de vin, je pense qu' il faut une de 10l. Y a t il quelqu'un sur Lyon qui aurai ça, ou une adresse (sans avoir a me taper 10l de picrate !). Ah, il faudrait peut être que je demande dans un resto.
hello! Alors oui je l'ai utilisé et ca me satisfait tout à fait.
Dans la pétole après test ça permet de retenir le mat assez longtemps en surface, et sinon ça le retient entre 2 eaux sans qu'il coule.
Par vent moyen ça permet d'avoir largement le temps de monter sur la dérive, on s'est amusé à essaye d faire le tour du bateau à la nage pour voire si on avait le temps, c'est un peu limite.
Par contre comme mentionné plus haut effectivement pas vent moyen/fort et sutout avec de la houle/gros clapot le mat pourrait peut être plonger.
Ceci étant la flottabilité servira malgré tout à dechapeauter plus facilement, il est d'ailleurs impressionnant de constater la traction sur la bouée lorsque le mât s'immerge ce qui me fait penser que les attaches sur la bouée pourraient se déchirer, c'est le point important à ne pas négliger; multiplier les attaches sur la bouée.
Voili voila après c'est sur que ce n'est pas esthétique.
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- NicodeLyon
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Ex RS500XL n°675 - Paperjet n°85
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Je pense que le cubi de 5l est suffisant. Pour moi, 3l est un peu juste, ca ralentit bien mais ca coule quand même.
Avantage du cubi, léger, transparent, ca marche bien et gratuit.
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Marcel Pagnol
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NicodeLyon wrote: Merci Remi, super ton explication, je pense avoir tout compris. J’avais sous-estimé cet aspect. Je pensais que de mettre le bateau face au vent était important pour éviter de se le prendre sur la tronche a peine redressé, mais pas pour la facilité de sortir le gréement de l’eau. Le mieux pour éviter de faire chapeau, c’est d’être suffisamment rapide, que l’un des deux grimpe sur la coque, puis la dérive sans passer par l’eau.
Oui, mais je peux te dire que sur le B14, si l'on dessale à la gite, même en montant en bout de dérive (et je pèse probablement pas loin de 100kg tout habillé), je n'arrive pas à empêcher le chapeau s'il y a du vent.
Même à Sanguinet avec 2 frites de piscine en tête de mat, et un mat "tuné" par mes soins face à ce problème pour éviter/retarder les entrées d'eau (trou de tête de mat bouché, drisse de spi en extérieure et réa de spi bouché, trous d'accroche des caps bouchés), il est quand même allé au fond (mais il y avait 25kts).
A mon avis l'optimum vitesse, c'est le barreur qui saute sur la dérive, et l'équipier qui fonce à l'avant pour faire pivoter le bateau face au vent ... ce qui présente comme 2eme avantage de garder le barreur au sec ;evil;
Sinon, désolé pour la digression, mais je voulais par là mentionner que la flottaison de tête de mat n'est pas une panacée
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Tu as appris ça en 505Rémi P wrote:
NicodeLyon wrote: Merci Remi, super ton explication, je pense avoir tout compris. J’avais sous-estimé cet aspect. Je pensais que de mettre le bateau face au vent était important pour éviter de se le prendre sur la tronche a peine redressé, mais pas pour la facilité de sortir le gréement de l’eau. Le mieux pour éviter de faire chapeau, c’est d’être suffisamment rapide, que l’un des deux grimpe sur la coque, puis la dérive sans passer par l’eau.
Oui, mais je peux te dire que sur le B14, si l'on dessale à la gite, même en montant en bout de dérive (et je pèse probablement pas loin de 100kg tout habillé), je n'arrive pas à empêcher le chapeau s'il y a du vent.
Même à Sanguinet avec 2 frites de piscine en tête de mat, et un mat "tuné" par mes soins face à ce problème pour éviter/retarder les entrées d'eau (trou de tête de mat bouché, drisse de spi en extérieure et réa de spi bouché, trous d'accroche des caps bouchés), il est quand même allé au fond (mais il y avait 25kts).
A mon avis l'optimum vitesse, c'est le barreur qui saute sur la dérive, et l'équipier qui fonce à l'avant pour faire pivoter le bateau face au vent ... ce qui présente comme 2eme avantage de garder le barreur au sec ;evil;
Sinon, désolé pour la digression, mais je voulais par là mentionner que la flottaison de tête de mat n'est pas une panacée
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Selon le plan d'eau, je peux être très rapide à aller sur la dérive à la gite, souvent avant le dessalage effectif, l'aller et retour est très rapide grâce aux échelles de nos bateaux successifs 5000, RS800. En cas de dessalage à contre je vais le plus vite possible le long du mât pour le maintenir à la surface. Pour le moment cette technique nous a réussi... thumbsup;
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NicodeLyon wrote: thumbsup; merci pour ta reponse, c'est quoi ton skiff ?
c'est un laser 5000
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wal wrote: Soyons fous... Je le dis : je trouve ça moche les cubis !!! En tête de mat on dirait le grelot du chapeau de bouffon ;o) houla... Vais avoir des problèmes moi ;o) Je crois que je préfère encore chapeauter.
Dans un lac par 4m de fond ou dans une mer agitée, il faut parfois faire de petits sacrifices pour ne pas à avoir à racheter un mat
Mais on est d'accord pour le côté laid de la chose ;rolleyes;
i14 - Le gueux.
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Je n'y avais pas pensé, je ne suis pas très agile pour monter sur la dérive, par contre je suis assez à l'aise dans l'eau, donc j'irai au bout du mât thumbsup;Sudiste wrote: Nous n'avons jamais eu de flottabilité en tête de mât.
Selon le plan d'eau, je peux être très rapide à aller sur la dérive à la gite, souvent avant le dessalage effectif, l'aller et retour est très rapide grâce aux échelles de nos bateaux successifs 5000, RS800. En cas de dessalage à contre je vais le plus vite possible le long du mât pour le maintenir à la surface. Pour le moment cette technique nous a réussi... thumbsup;
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nicolacoca wrote:
NicodeLyon wrote: thumbsup; merci pour ta reponse, c'est quoi ton skiff ?
c'est un laser 5000
Quel numéro ?
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cadre wrote:
ggc wrote: Je n'y avais pas pensé, je ne suis pas très agile pour monter sur la dérive, par contre je suis assez à l'aise dans l'eau, donc j'irai au bout du mât thumbsup;
confirmation en image
Alain, le seul skiffeur qui resale son bateau debout sur le safran
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Rémi P wrote:
Sinon, désolé pour la digression, mais je voulais par là mentionner que la flottaison de tête de mat n'est pas une panacée
Du fond de sa tombe, ton maitre Marcel n'est pas tout à fait de cet avis.
A la Baule, il n'hesitait pas à greer un gilet en tete de mat, pour sauver ce dernier et continuer d'enrouler les bouées, plutot que de commander un nouveau Proctor au 1er dessalage venu.
Sur un plan d'eau clapoteux et parsemé de hauts-fonds, c''est juste une question de bon sens.
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