Le monde d'après de la voile
www.yachtsandyachting.com/news/228797/Th...-grass-roots-revival
Cela reprend des thématiques que nous sommes nombreux à partager depuis très longtemps et même si j'ai plutôt tendance à penser comme Houellebecq, on peut espérer, ou rêver, au moins dans la pratique du sport voile, que le "monde d'après" ne soit pas totalement le même, "en un peu pire". Comme le dit Mark Jardine, éditeur de Yachts and Yachting Online, il faut défendre l'idée de revenir à une voile qui se pratique d'abord et avant tout en local, dans des clubs, lieux de sociabilité, et non pas en passant son temps à remorquer des bateaux dès le plus jeune âge et à multiplier les kilomètres. C'est la seule manière d'endiguer le déclin de ce sport mais cela impose une révolution des mentalités des pratiquants et des dirigeants. En cela, la crise du coronavirus pourrait aider. Après le #restezchezvous le #naviguezdansvotreclub !
Breizh Skiff Project, YCCarnac.
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Je partage totalement. La frénésie de trajets du week end est une ineptie sociale et écologique, totalement en décalage avec l'image d'un sport de nature. La question est comment peut-on contribuer à ce changement ?Cédric F wrote: il faut défendre l'idée de revenir à une voile qui se pratique d'abord et avant tout en local, dans des clubs, lieux de sociabilité, et non pas en passant son temps à remorquer des bateaux dès le plus jeune âge et à multiplier les kilomètres.
Une peu de provoc : un circuit comme Breizhskiff n'est il pas justement un exemple de mauvaise pratique ?
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GuyB wrote:
Je partage totalement. La frénésie de trajets du week end est une ineptie sociale et écologique, totalement en décalage avec l'image d'un sport de nature. La question est comment peut-on contribuer à ce changement ?Cédric F wrote: il faut défendre l'idée de revenir à une voile qui se pratique d'abord et avant tout en local, dans des clubs, lieux de sociabilité, et non pas en passant son temps à remorquer des bateaux dès le plus jeune âge et à multiplier les kilomètres.
Une peu de provoc : un circuit comme Breizhskiff n'est il pas justement un exemple de mauvaise pratique ?
Pour les bretons, non...par contre, pour les gars comme Alex, Alain, moi ou les autres, surement. Maintenant, naviguer toujours dans la même mare à canard....bof, cela nous permet de voir d'autres paysages, d'autres endroits ce qui fait partie des plaisirs de ce genre de sport même de nature. Tout le monde n'a pas la chance d'habiter près d'un spot sympa...pour ma part si je dois naviguer dans mon club, je dois faire 250km A/R et sur les étangs près de chez moi, je vais pouvoir vendre le 49er et acheter un Finn au vu de leurs superficies.
Actuellement, le dériveur permet ces déplacements et cette facilité engage à pratiquer ce type de bateaux. Sinon, j'ai bien peur que le dériveur perde beaucoup de pratiquants.
Pour en revenir, à Breizhskiff, l'idée de pouvoir faire des rassemblement permet aussi de rencontrer des passionnés ayant le même but et c'est quand même le plus sympa en dehors de la régate.
Pour les "sports de nature" pur, je peux être d'accord, mais à ce moment là, je ne prends plus de licence FFV (fini les fédé) comme je l'ai fait pendant 25 ans...pour pratiquer mon sport préféré à l'époque (fun board). Il m'arrivait, même, de prendre l'avion pour naviguer au soleil en plein hiver...c'est pas mieux.
Je pense pas qu'il ne faille pas aller dans l’excès, 4 ou 5 déplacements dans l'année c'est bien...car dans le cas contraire, j'en entends déjà qui vont interdire les déplacements pour loisirs à moins de 100km de chez soi...bonjour le mélange social, les chocolatines restent entre elles et les pains au chocolat aussi.
Perso, naviguer en club ça me va bien car je n'ai pas besoin de chercher un équipier...j'ai le meilleur!!!
Team Papy's Forty member
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GuyB wrote:
Je partage totalement. La frénésie de trajets du week end est une ineptie sociale et écologique, totalement en décalage avec l'image d'un sport de nature. La question est comment peut-on contribuer à ce changement ?Cédric F wrote: il faut défendre l'idée de revenir à une voile qui se pratique d'abord et avant tout en local, dans des clubs, lieux de sociabilité, et non pas en passant son temps à remorquer des bateaux dès le plus jeune âge et à multiplier les kilomètres.
Une peu de provoc : un circuit comme Breizhskiff n'est il pas justement un exemple de mauvaise pratique ?
Pour répondre à la petite provocation, dès le début de l'aventure breizhskiff et du circuit (il y a bien bien longtemps) il y avait l'idée de limiter le nombre de régates de manière très stricte ( 5-6 par an) et le circuit était basée sur l'idée de séparer en deux la France avec seulement deux épreuves de rassemblement des deux zones, une en début de saison (le Der) et une fin de saison (lac Aquitain). Le reste du temps, navigation en club. Si chez les jeunes et dans les filières de pratique, on faisait cela, ce serait déjà une révolution.
Le problème au niveau fédéral c'est qu'on est dans la fuite en avant : moins il y a de monde dans les clubs et les séries plus quelques entraineurs/parents encouragés par des cadres déconnectés des réalités (le mythe du haut niveau) et soutenus par des institutions (CDV/ligues) qui utilisent les subventions au profit des quelques uns mais pas du plus grand nombre, prennent la bagnole et les remorques.
Et comme on est en France, il n'y a finalement que d'une grosse crise que le changement peut survenir... Même si je n'y crois pas fondamentalement. Et pour avoir écrit des choses, proposer des choses lorsque j'avais des responsabilités fédérales, je sais à quel point cela bloque.
Après il ne faut pas tomber dans l'excès inverse au vue de la situation.
Breizh Skiff Project, YCCarnac.
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Quel sport en 2030 ? Les tendances lourdes
PATRICK BAYEUX • PATRICK-BAYEUX@ORANGE.FR
Publié le 05/05/2020à 11h05
Pour une lecture détaillée le lecteur se reportera à 4 scénarios prospectifs sur l'organisation du sport de Patrick Bayeux et Gérard Baslé, Rems octobre 2006. La présentation utilisée lors du salon est aussi disponible.
15 ans après on fait le constat qu’on avait vu juste avec le scénario de la gouvernance. Toutefois, dans le discours les acteurs sont d’accord pour basculer vers le scénario de la gouvernance, manifestement dans les faits ils n’étaient pas prêts à cette évolution puisque le GIP fonctionne de la même façon que le CNDS, et que localement rien ne s'est passé. »
Episode 1 lancement du chantier gouvernance, Episode 2 une vision prometteuse, Episode 3 le processus de décision, Episode 4 (première partie ) Une mise en œuvre chaotique : le cadre législatif et réglementaire. Episode 4 (seconde partie) Une mise en œuvre chaotique mais une lueur d’espoir
Aujourd’hui nous souhaitons plus modestement faire le même exercice dans un contexte si particulier mais propice à l’accélération des prises de décision. En effet en temps de crise, le temps de la décision se réduit.
Cette période peut être profitable aux acteurs du sport ou au contraire signer une implosion du modèle.
2 périodes post-confinement
Un consensus semble aujourd’hui se dégager sur le fait que l’après confinement sera marqué par 2 périodes :
- la première avant le traitement ou le vaccin ;
- la seconde après le traitement ou le vaccin.
Durant la première période, la pratique sera limitée et devra se faire en tenant compte des mesures de distanciation physique. Même si l’épidémie est contrôlée, l’incertitude va dominer. Pour les pratiques sportives de salle et de contacts interdites pour le moment, peut-on imaginer une reprise conditionnée par des tests ? Les adhérents vont-ils retourner dans les clubs ? Ces pratiques sont-elles viables en respectant les mesures de distanciation physique ? Les parents seront-ils suffisamment en confiance pour laisser leurs enfants pratiquer ? Quid des encadrants et des bénévoles dont on sait qu’ils sont en grande partie des séniors ? Quant au spectacle sportif peu probable qu’il puisse se dérouler en jauge maximum. Alors que faire, diminuer la jauge temporairement ou durablement ? Certains architectes y pensent déjà.
Comment les acteurs du sport vont s’organiser pendant cette période pour mieux basculer vers la seconde ? En outre dans cette période il n’y aura pas que la distanciation qui pèsera, il y aura aussi la disponibilité des services publics, les mesures de gestion du temps : transports, l’organisation de la vie école ou pas, travail ou pas, horaires décalés…
Cette première période peut-elle être propice à une remise en cause du modèle actuel, un déclencheur qui laisserait entrevoir une seconde période différente de la période avant Covid 19 ? Cette première période sera déterminante pour la construction de la seconde.
Pour cette seconde période, nous voyons 2 scénarios:
- le scénario de l’implosion / explosion ;
- le scénario de la raison / de l’intelligence collective.
Une accélération des tendances lourdes
Quel que soit le scénario, on assistera à une accélération des tendances lourdes. Des tendances lourdes qui constituent des facteurs à prendre en compte et qui auront d’une manière certaine une influence sur les futurs possibles. Pour certaines tendances le coronavirus va être un accélérateur.
- L’évolution de la population - comportement – consommation
On relève plusieurs tendances telles que la transformation de la structure familiale : baisse des mariages, augmentation des divorces, essor de nouvelles formes d’union ; La transformation des parcours d’activité et l’hybridation des statuts d’activité, entraînant le brouillage de l’opposition traditionnelle entre activité et inactivité. Cette évolution de la population s’accompagne d’une évolution des comportements entre les vétérans (nés avant 45), les babyboomers (nés entre 45 et 60), et les générations X (nées entre 61 et 80) Y (nées entre 81 et 95) et Z (après 95) .
Respectueuse des règles et de la hiérarchie la génération X est fidèle à l’entreprise même si le travail n’est pas plaisant. La génération Y dite « digital natives » ou encore « millennials » première génération née avec internet est impatiente veut faire plus vite, veut plus de responsabilités, privilégie le court terme au long terme et rejette parfois la hiérarchie et fait passer les loisirs au premier plan. La dernière génération (Z), la « génération du pouce » en référence à l’usage permanent du smarphone n’est pas entrée sur le marché de travail mais tout comme la génération Y ils sont en permanence connectés à leur tribu.
Dans le domaine des pratiques physiques et sportives, ces générations ont des modes de consommations et des aspirations différentes. Ainsi on relève que toutes les études sur la motivation pour la pratique sportive et physique mettent en avant la santé, la lutte contre les stress, le partage et la convivialité avec les autres. La compétition n’est plus une motivation encore moins pour les jeunes générations. Dans un contexte d’incertitudes fortes l’individualisme et le fonctionnement en tribu vont ils s’accélérer ? Peut-on craindre un abandon de toutes pratiques collectives organisées ? Comment les nouvelles générations vont-elles s’organiser pour pratiquer une activité physique et sportive ?
- Le rapport au temps, à l’espace ; l’accélération du changement
Les rythmes de vie sont de plus en plus individualisés et diversifiés. Les temps de la ville sont repensés, qu’il s’agisse des transports ou des services. Le temps du travail va être totalement chamboulé avec la crise du coronavirus. Le mode de gestion et l’utilisation du temps de la part des acteurs publics comme privés sont réinterrogés. Il n’y plus que l’institution scolaire dont le temps est figé et encore ça bouge. Les entreprises et les professions font l’expérience du télétravail. Celui-ci devrait s’installer durablement comme un mode d’exercice des activités professionnelles à part entière. Quelle utilité d’habiter à une heure de transport de mon travail si je peux le faire depuis n’importe où ? Le modèle domicile / travail / services / loisirs est remis en cause.
En outre le rythme du changement s’accélère et ceci dans tous les domaines, les sciences, les techniques les outils mais les territoires eux-mêmes avec des changements d’échelle de plus en plus importants liés au renforcement des intercommunalités, de la métropolisation tout en observant un plébiscite pour le retour à la nature. Avec le covid 19 c’est le mode de vie des français qui est réinterrogé.
Comment les acteurs du sport doivent prendre en compte ces nouvelles temporalités sur ces nouveaux territoires. La pratique physique et sportive sur le temps du travail dans un cadre sécurisé va-t-elle prendre le pas sur les autres formes de pratiques ? A l’avenir le bien-être au travail passe t-il par des aménagements aux temps sportifs ou à tout du moins des équipements permettant une pratique de proximité (running par exemple autour du lieu de travail) ?
- Le développement durable, la frugalité, le retour à la nature et au local
La lutte contre le changement climatique engagée depuis plusieurs années s’accélère avec une volonté de tendre vers la neutralité carbone, de diminuer les consommations énergétiques et de favoriser les énergies renouvelables. Cette tendance a de nombreux impacts sur l’urbanisme (lutte contre les ilots de chaleurs, végétalisation des surfaces, … ) les politiques de transport, conception et la construction des équipements, l’organisation des évènements sportifs, … « Frugalité » est désormais un mot de plus en plus présent dans le discours des urbanistes et des architectes tout comme l’économie circulaire qui est un standard qui s’imposera dans les toutes prochaines années. En outre, le retour à la nature est une tendance lourde qui trouve un écho particulier dans le domaine sportif et qui s’amplifiera dans les années à venir tout comme le local revient en force.
Le retour au local dans le domaine sportif signifie-t-il une pratique de proximité, une limitation du temps de transport, une pratique à forte valeur environnementale ? L’enjeu est-il la nature de la pratique sportive ou ce que génère cette pratique ?
- La santé, le bien être, le bonheur mais aussi la distanciation
Etre en bonne santé est aujourd’hui la priorité des français qui ne fait que s’amplifier au regard de la crise du Covid 19. L’allongement de l’espérance de vie et la prise de conscience que les politiques publiques de santé ne régleront pas tous les problèmes font naître de nouveaux comportements individuels basés sur une plus grande responsabilité des individus par rapport à leur propre capital santé. Mais ce comportement d’abord hédoniste va s’élargir à la sphère familiale et amicale. Le bien-être passe par la santé et sans doute par une forme adaptée de pratique physique et sportive. Le bien-être va rapidement dépasser la consommation de soins et de services. Se sentir bien et en sécurité est en passe de devenir un mode de vie. Mise en perspective des problématiques de distanciation en attendant le remède et / ou le vaccin de nombreuses applications proposent des programmes d’activités et plus largement de santé (relaxation, méditation, …) qui constitueront une alternative ou un complément à une pratique plus traditionnelle.
Cette distanciation va peser lourd dans le comportement de nos concitoyens à la fois pour le sport qui se pratique mais et encore plus pour le sport qui se regarde dans les enceintes sportives. Les pratiquants vont-ils retourner vers les clubs, prendre des licences ou privilégier une forme de pratique plus informelle, moins cadrée. Les supporters et spectateurs pourront-ils retourner dans les enceintes ? Le souhaiteront-ils ? Le spectacle sportif, la fidélité à un club seront-ils suffisamment puissants pour fidéliser à nouveau les spectateurs ? Ou l’avenir est il d’assister à un spectacle sportif connecté en visio avec sa tribu devant un écran ?
- le numérique, la mise en scène, l’expérience spectateur
Il y a 15 ans lorsque nous avons imaginé le sport en 2020, les réseaux sociaux n’existaient pas. Facebook a été fondé en 2004, Twitter a été créé le 21 mars 2006. Nous avions pointé une tendance lourde : la mise en scène et la spectacularisation des évènements sportifs. Aujourd’hui cette tendance est totalement vérifiée mais concerne également le spectateur qui doit vivre « une expérience unique » et pouvoir se mettre en scène lui-même. Le narcissisme sur les réseaux sociaux est une tendance lourde mais aussi une source de motivation qu’un certain nombre d’applications ont bien intégré. En outre ce qu’il convient d’appeler la révolution numérique offre de nouvelles formes d’organisation de la pratique sportive qui obligent les acteurs historiques à définir des stratégies digitales.
Tout l’écosystème du sport s’en trouve bouleversé par le numérique, que ce soit celui du sport qui se pratique ou du sport qui se regarde, mais aussi des pratiquants du sport qui se regarde ! Le développement du coaching individuel va s’amplifier. Les tutos vont circuler sur les réseaux sociaux. Les fans vont se multiplier et partager leurs expériences. Sans oublier le « e-sport » qui pourrait constituer pour certaines personnes une alternative à une pratique traditionnelle.
- La désacralisation des institutions, la perte de confiance
Nous connaissons depuis plusieurs années une crise des institutions politiques et des corps intermédiaires. Cette perte de confiance envers nos représentants s’accompagne d’une perte de monopole de la transmission de la connaissance par l’Éducation nationale qui n’est plus le seul lieu légitime du développement des compétences. Dans le domaine sportif une autre crise impacte la confiance : les violences sexuelles ce qui ont conduit la ministre des sports à mettre en place un contrôle de l’honorabilité des bénévoles et des encadrants. Cette crise de la confiance va générer de nouvelles formes d’engagement et en particulier des bénévoles. De nouvelles solidarités de proximité vont se mettre en place.
L’incertitude liée à la crise du Covid 19 doublée d’une crise de confiance des institutions va-t-elle impacter l’engagement des bénévoles dans le domaine sportif ? Peut-on imaginer de nouvelles formes de solidarités dans le domaine sportif avec de nouvelles formes de pratiques sportives ? Le militantisme sur les réseaux sociaux, le crowdfunding, la pratique en tribu vont-ils prendre le pas sur le club ?
Nous développerons sur les bases de ces tendances lourdes dans notre prochain et dernier papier pour cette période de confinement 2 scénarios sur le même modèle que ceux développés il y a 15 ans.
Team Papy's Forty member
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Je rappelle qu'il y avait aussi dans breizhskiff, ce coté tribu qui a toujours existé dans le sport mais a été amplifiée par les réseaux sociaux.
Après est-ce que les tribus, les nouveaux modes d'engagement associatifs ou autre vont supplanter les clubs. Personnellement je ne pense pas en tout cas pas forcément radicalement mais il y aura un phénomène d'hybridation...
Breizh Skiff Project, YCCarnac.
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C'est la raison pour laquelle il faut les deux et je ne pense pas qu'il soit bon d'opposer le modèle BSP et les clubs. Ces derniers ont énormément d'avantages, mais sans BSP, je n'aurais jamais été membre de la Ganguise, il y a 10ans. C'est justement la régate BSP de la Ganguise, donc un déplacement, qui m'a fait connaître ce club alors que j'y naviguais régulièrement en planche dans les années 90. Depuis, Bsp m'a permis de découvrir d'autres spots et je m'y rends avec d'autres skiffeurs de ce club.Cédric F wrote: Ouep très intéressant GG.
Je rappelle qu'il y avait aussi dans breizhskiff, ce coté tribu qui a toujours existé dans le sport mais a été amplifiée par les réseaux sociaux.
Après est-ce que les tribus, les nouveaux modes d'engagement associatifs ou autre vont supplanter les clubs. Personnellement je ne pense pas en tout cas pas forcément radicalement mais il y aura un phénomène d'hybridation...
Au début, lors de certaines polémiques, certains dont moi pensaient que BSP pourrait devenir une association loi 1901 de pratiquants skiffeurs. Lardon, certains autres et toi-même étaient contre et je me rends bien compte aujourd'hui que vous aviez raison, je ne sais pas si c'est une tribu c'est en tout cas un groupe où l'on est libre de venir ou pas sans aucune contrainte...et c'est donc très complémentaire avec la pratique en club où l'on doit être plus responsable pour que celui-ci perdure.
Team Papy's Forty member
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ça ne vous interroge pas ce genre de rubrique, je cherche des lunettes pour naviguer. J'ai ouvert ce site web spécialisé "sports nautiques" et bien la voile n'en fait plus partie, des questions a ce poser?????
Team Papy's Forty member
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- Philippe G
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C'était pour voir des lunettesPhilippe G wrote: Bah ton site c'est un peu matériel de sport nautique à moteur...
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Et donc ?ggc wrote:
C'était pour voir des lunettesPhilippe G wrote: Bah ton site c'est un peu matériel de sport nautique à moteur...
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Je trouve que ce site sensé être spécialiste de sports nautique (je ne vois pas où sont les moteurs) a un peu oublié la voile (surement pas un sport à la mode)....c'est toutFréd wrote:
Et donc ?ggc wrote:
C'était pour voir des lunettesPhilippe G wrote: Bah ton site c'est un peu matériel de sport nautique à moteur...
PS: j'ai ouvert ce site pour trouver des lunettes
Team Papy's Forty member
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- Alexandre 38
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ggc wrote:
Je trouve que ce site sensé être spécialiste de sports nautique (je ne vois pas où sont les moteurs) a un peu oublié la voile (surement pas un sport à la mode)....c'est toutFréd wrote:
Et donc ?ggc wrote:
C'était pour voir des lunettesPhilippe G wrote: Bah ton site c'est un peu matériel de sport nautique à moteur...
PS: j'ai ouvert ce site pour trouver des lunettes
La voile est au sports nautiques ce que le ski-alpin est à la montagne. Les deux demandent un minimum d'apprentissage et évoluer en milieux naturels ( Mer et Montagnes) n'est pas forcement au gout des purs consommateurs de sensations fortes . Aujourd'hui il faut pouvoir 'foiler' pour faire de la voile au même titre que descendre en ski n'est plus suffisant, décoller et sauter les barres rocheuses en kite-ski c'est plus mieux....
Heureusement, il n'y a pas que la Voile légère en sports Nautiques. La Voile se décline tout de même sous un panel de pratiques assez vastes pour encore avoir son public.
Pour les lunettes , la boutique d'optique du coin de la rue, rame pour passer la crise... Ils ont certainement des petites solaires avec un cordon , prêtes à faire 'plouf' au bout de trois Nav au fond de la Ganguise :evil:
Si non, à propos... ça m’intéresse de savoir quels sont les axes de boulot pour cette saison spéciale au CVCastelnaudary ? ( Scolaire en Juin ? Centres aérés ? Stages enfants sur Juillet et Aout ?)
"On ne perds jamais- Soit nous gagnons, soit nous apprenons ..." N.Mandela
-'Iaorana' RS 500 Mylar #1093 / 'WHYTE' RS 800 #1228 / 'Sissancatre' Musto-Skiff #604 / 'Rodéo-Clowns' RS 800 #1101
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Pour avoir les infos tu dois interroger Christophe, le chef de baseAlexandre 38 wrote: [
Si non, à propos... ça m’intéresse de savoir quels sont les axes de boulot pour cette saison spéciale au CVCastelnaudary ? ( Scolaire en Juin ? Centres aérés ? Stages enfants sur Juillet et Aout ?)
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