Un rosbif lost in Paris with his RS600!

Oui, je fais réparer le bateau par le chantier du bessin, près de chez moi. Ils ont l'habitude des dériveurs éclatés en école de voile, leurs réparations sont toujours propres et ultra solides.

Pour le Laser 4000, j'avoue que ce n'est pas à ça que je pense. Loin de moi l'idée de me détourner des skiffs mais mes premières amours pour les bateaux en bois ne sont pas mortes... Je suis toujours à l'affut d'un Merlin Rocket (design summer wine ou NSM4) ou un National 12.

Je comprends parfaitement, pour avoir vu des photos du Merlin Rocket (David Balk.),
et pour avoir vu la préparation d'une régate de National 12 à Kippford (Ecosse), en 2005 ...

Par contre... Adieu le spi ! :_(

D'accord, je suis un adepte de la monotypie,
mais c'est pas évident tous les jours, d'aller régater en Ecosse !
Pourtant, que c'est beau, entre 2 averses ! (de ce côté-ci, tu es habitué... :-X )

BenoitF écrit:

Par contre... Adieu le spi ! :_(

C'est pour ça que je préfèrerais un Merlin. J'aime bien le système d'avaleur, le double-tangon qui permet d'empanner en 2 secondes... Et puis c'est plus grand qu'un N12, il y a moyen de faire de la balade à 3 sans soucis.

Dans les dériveurs en bois, tu as aussi le Fireball.

J'ai déjà eu un Fireball, je trouve ça bien mais j'ai un peu de mal avec la marotte, je trouve que ça fait optimist pour grandes personnes .

Plus sérieusement, je trouve le cockpit un peu étroit pour emmener du monde en balade. Le Merlin Rocket me semblerait plus approprié sur ce point. En plus, pas de crochet de ceinture de trapèze qui ruine le vernis à chaque embarquement...

Pour embarquer sans ruiner le vernis, il suffit d'attraper la poignée de trapèze, et de s'assoir d'abord sur le caisson en laissant les jambes à l'extérieur. Ça marche aussi pour remonter après un dessalage.