505 twin wire

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Ce n'est pas nouveau ! Il y avait même, à la grande époque, une épreuve du calendrier qui était "open", à savoir que les Cinquo en double-trap' pouvaient courir avec les autres. Il fallait quand même que l'équipage soit léger ou que le mât soit bien costaud ! ;rolleyes;

ah bon

Ben oui.

cinquo17.over-blog.fr/photo-1712147-SPI-...UE-01_jpg.html#start

Ce n'est effectivement pas nouveau mais c'est intéressant que de telles initiatives (qui n'ont que peu de chance d'aboutir à des évolutions) reviennent sur le devant de la scène en ce moment. Cf aussi le Fireball a spi asymétrique si défendu par le professeur Collin.
A peu de chose près (les 505 ne font pas ou peu d'intersérie) on a le même débat avec les gueuses de Gilles. ;rolleyes; Et s'il le faut on trouvera à un rating pour le 505 à double trap et spi asymétrique... A moins qu'on ne le classe en équivalent C0...
Mais comme toujours, chaque bateau à son programme, son esprit, son public et ces gens qui font des expérimentations feraient mieux, dans le cas présent, de faire du RS 800, du I14, voire du 49er. Ils doivent être trop lourds pour le Cherub ou le 29erXX.

.
ces gens qui font des expérimentations feraient mieux, (...) de faire du RS 800, du I14, voire du 49er

[strike]Fort heureusement, les expérimentateurs ont suffisament d'indépendance d'esprit pour ne pas se limiter à ce que leur préconise la majorité bien pensante, qui elle, se contente des regles etablies, des séries constituées, voire même d'un seul type de pratique (dériveur ou skiff ou cata ou nouveau dériveur ou quillard ou sportboat), (monotypie ou intersérie ou ballade ou raid).

Il est vrai qu'il est parfois reposant de n'appartenir qu'à une seule chapelle.

Par définition, les évolutions de jauge se font toujours dans l'illégalité ou aux limites de la jauge dans un premier temps. Avant que la masse des suiveurs ne finisse par comprendre qu'il est tout à fait logique, du point de vue des performances et de la survie des classes, d'accepter ces évolutions. (la liste est longue : trapeze, avaleur de spi, greements carbone, nouveaux plans de voilure, coques composites, appendices longs, ....)

A ce titre je pense que Gilles, saint martyr de la cause skiff light, rencontre encore plus de réticences en ce moment que Copernic en son temps. ;rolleyes;

à l'extreme on obtient des systemes de jauges [strike]idiots] car[/strike controlés par les chantiers et les revendeurs et donc à la longue, contraires à l'évolution des besoins de leurs clients (LDC, Laser - )
et à l'autre extreme des jauges tellement libres qu'elles laissent libre cours à l'inventivité, et où il est parfois difficile de suivre le rythme de ces évolutions (i14, cherub, moth) au détriment de la stabilité de la pratique et de la valeur des canotes (sans parler de la valeur toute relative de leur rating)

un post recent sur le forum cinquo laissait penser qu'un autre equipage rochelais aller tater de l'i14
(sans doute pour tenter d'imiter d'autres cinquistes de talent (Pinnell, Hamlin, Baylis&Larsson, Mike Martin...

comme quoi..;

Sur ce ... cul;
[/strike]

OUps, post tronqué,
dommage, la fin etait excellente

En même temps, le soucis en france, ce n'est pas l'innovation, c'est plutôt d'avoir un minimum de pratiquants...

Cédric F écrit:

Mais comme toujours, chaque bateau à son programme, son esprit, son public et ces gens qui font des expérimentations feraient mieux, dans le cas présent, de faire du RS 800, du I14, voire du 49er. Ils doivent être trop lourds pour le Cherub ou le 29erXX.

Je ne vois pas ce qu'on peut expérimenter en RS800 ou en 49er, le comble de la rigidité étant les règles de classe du RS800 qui imposent que ce soit le barreur qui s'occupe de l'écoute de GV.

Nom écrit:

.
ces gens qui font des expérimentations feraient mieux, (...) de faire du RS 800, du I14, voire du 49er

[strike]Fort heureusement, les expérimentateurs ont suffisament d'indépendance d'esprit pour ne pas se limiter à ce que leur préconise la majorité bien pensante, qui elle, se contente des regles etablies, des séries constituées, voire même d'un seul type de pratique (dériveur ou skiff ou cata ou nouveau dériveur ou quillard ou sportboat), (monotypie ou intersérie ou ballade ou raid).

Il est vrai qu'il est parfois reposant de n'appartenir qu'à une seule chapelle.

Par définition, les évolutions de jauge se font toujours dans l'illégalité ou aux limites de la jauge dans un premier temps. Avant que la masse des suiveurs ne finisse par comprendre qu'il est tout à fait logique, du point de vue des performances et de la survie des classes, d'accepter ces évolutions. (la liste est longue : trapeze, avaleur de spi, greements carbone, nouveaux plans de voilure, coques composites, appendices longs, ....)

A ce titre je pense que Gilles, saint martyr de la cause skiff light, rencontre encore plus de réticences en ce moment que Copernic en son temps. ;rolleyes;

à l'extreme on obtient des systemes de jauges [strike]idiots] car[/strike controlés par les chantiers et les revendeurs et donc à la longue, contraires à l'évolution des besoins de leurs clients (LDC, Laser - )
et à l'autre extreme des jauges tellement libres qu'elles laissent libre cours à l'inventivité, et où il est parfois difficile de suivre le rythme de ces évolutions (i14, cherub, moth) au détriment de la stabilité de la pratique et de la valeur des canotes (sans parler de la valeur toute relative de leur rating)

un post recent sur le forum cinquo laissait penser qu'un autre equipage rochelais aller tater de l'i14
(sans doute pour tenter d'imiter d'autres cinquistes de talent (Pinnell, Hamlin, Baylis&Larsson, Mike Martin...

comme quoi..;

Sur ce ... cul;
[/strike]

Je suis entièrement d'accord avec toi sauf sur un point :
Les évolutions de jauge ne se font guère dans l'illégalité... Elles se font dans un cadre précis définissant dans des règles la conduite du changement. Il n'empêche que certains comme c'est le cas avec le 505 à spi asymétrique ou à double trap essayent des choses mais il faudra du temps avant que la classe n'évolue vers cela.
Après il est évident que l'évolution en matière d'architecture navale vient pour ainsi dire essentiellement des jauges à développement. Les jauges à restriction sont des monotypies qui cachent leur nom. Et les monotypes, surtout dans le cas des SMOD (single manufacturer one design) ont pour objectif principal d'essayer de stabiliser les pratiquants dans un type de pratique ou de support et non de révolutionner l'architecture navale.

Il y a donc un équilibre subtil à trouver mais le marché de la voile légère et des pratiques est suffisamment vaste pour que chacun y trouve son compte.

Cédric F écrit:

Ce n'est effectivement pas nouveau mais c'est intéressant que de telles initiatives...

Je ne voulais pas pourrir l'autre discussion "gueuses et règles de classes" mais tt de même : Cédric note une évidence à savoir que sportivement parlant, la seule possibilité est de respecter les règles de classe. Et j'avais envie de suggérer 1 soluce pour qui souhaite y déroger : voir la catégorie « open » communément appelée en kart« catégorie balai », regroupant une peu toute sorte de matériel et toute sorte de personnes, mais sans classement. Je découvre ici que ça existe aussi en skiff (?)

Cédric F écrit:

Et les monotypes, surtout dans le cas des SMOD (single manufacturer one design) ont pour objectif principal d'essayer de stabiliser les pratiquants dans un type de pratique ou de support et non de révolutionner l'architecture navale.

Ah bon, je pensais bêtement que l'objectif était de vendre un max de bateaux sans concurrence.

flebas écrit:

Cédric F écrit:

Mais comme toujours, chaque bateau à son programme, son esprit, son public et ces gens qui font des expérimentations feraient mieux, dans le cas présent, de faire du RS 800, du I14, voire du 49er. Ils doivent être trop lourds pour le Cherub ou le 29erXX.

Je ne vois pas ce qu'on peut expérimenter en RS800 ou en 49er, le comble de la rigidité étant les règles de classe du RS800 qui imposent que ce soit le barreur qui s'occupe de l'écoute de GV.

Je n'ai jamais parlé d'expérimentation dans les classes monotypes : je dis juste que certains tentent des choses (ici l'exemple du 505 à spi asy ou à double trap) mais que cela existe déjà. En double trap le RS 800, le 49er, le I14 etc.
Bref je trouve cela très bien que des gens tentent des choses.
Ceci dit il y a un trou dans le marché : le dériveur à spi symétrique et à double trap... C'est vrai vous avez raison, le 505 pourrait jouer ce rôle... Mais cela risque de tirer les poids d'équipage vers le bas... Faut-il dès lors mettre un système de compensation ? Un rating différent ? Faire deux classes avec des départs séparés, non séparés ? junky1;

flebas écrit:

Cédric F écrit:

Et les monotypes, surtout dans le cas des SMOD (single manufacturer one design) ont pour objectif principal d'essayer de stabiliser les pratiquants dans un type de pratique ou de support et non de révolutionner l'architecture navale.

Ah bon, je pensais bêtement que l'objectif était de vendre un max de bateaux sans concurrence.

L'objectif est aussi de vendre un max, de garder les adeptes mais l'absence de concurrence serait beaucoup plus préjudiciable qu'on ne veut le croire, et surtout pour les chantiers eux même. Et la concurrence entre chantiers produisant des SMOD peut à la limite générer du progrès...

Mesmaks écrit:

Cédric F écrit:

Ce n'est effectivement pas nouveau mais c'est intéressant que de telles initiatives...

Je ne voulais pas pourrir l'autre discussion "gueuses et règles de classes" mais tt de même : Cédric note une évidence à savoir que sportivement parlant, la seule possibilité est de respecter les règles de classe. Et j'avais envie de suggérer 1 soluce pour qui souhaite y déroger : voir la catégorie « open » communément appelée en kart« catégorie balai », regroupant une peu toute sorte de matériel et toute sorte de personnes, mais sans classement. Je découvre ici que ça existe aussi en skiff (?)

Je ne savais pas que cela existait en Kart. Cela n'existe pas en dériveur sauf en catamaran avec la catégorie C0 qui est du réel (donc avec un classement qui sportivement ne veut rien dire) pour tout bateau ne correspondant pas à la notion de bateau de série telle que définie par les pratiquants de catamaran de sport et le SCHRS (système de rating pour les catamarans de sport).

Mesmaks écrit:

Cédric F écrit:

voir la catégorie « open » communément appelée (...) « catégorie balai », regroupant une peu toute sorte de matériel et toute sorte de personnes(...) . Je découvre ici que ça existe aussi en skiff (?)

Ouais, le trophée BSP, quoi ! :-X ;evil;




Bon j'arrete, car au final ca fait pas avancer la redaction de mon mémoire tout ca !... ;rolleyes; :_(