Administrateur au chômage et à la recherche d'emploi

Pour répondre à Emilien : oui à priori je bosse dans la communication, la stratégie, lobbying... D'autre part si tu veux des idées de développemebt pour voile lègère, on peut discuter 
Pour Thierry : oui la rupture était consommée depuis le 14 janvier et je suis soulagé que cela se termine. Cela a pris plus de temps que je ne pensais quand même : 3 mois de mise au placard et d'une espèce de harcelement pas facile à vivre. Pour vous expliquer : je dirigeais un syndicat patronnal lié à la CGPME. En janvier le Président qui m'avait angagé il y a deux ans n'a pas souhaité se représenter parce qu'on s'est rendu compte qu'il était en minorité et que le projet de transition que j'avais élaboré pour lui n'a pas été accepté par nos adversaires. Ils ont donc pris la présidence mais n'ayant pas le plaisir de voir l'ancien Président se faire battre, ils ont fait sauter son équipe ; au bout de trois mois : deux licenciements. Même si j'étais salarié, j'étais dans un poste politique donc je m'attendais depuis janvier à sauter mais pas de cette manière là, avec violence verbale limite physique, intimidations... Quand on prend des poste au service d'élus politiques ou associatifs on sait qu'on peut sauter à tout moment.
Moi qui ne suis par nature plus proche des patrons que des salariés, j'ai fait appel à un délégué suyndical salarié, celui contre qui je négociais dans la branche .... Vous comprennez que cela ait pu énerver mon nouveau Président. Surtout quand le délégué en question est salarié du principal concurrent... Ca explique un peu aussi leur violence à mon égard. Ne pas hésitez non plus à faire de la lettre recommandée à tout va pour signaler le moindre problème et écart. Je l'ai fait et ils n'y ont jamais répondu. Ne pas hésitez à les laisser s'enfermer dans des fautes de procédure car comme le dit Fred les Prud'hommes jugent en premier lieu la forme. Par exemple, comme je savais qu'ils ne voudraient sans doute pas me garder, j'ai dès le départ évoqué la possibilité d'un départ négocié. Ils se sont engouffrés dedans, m'ont convoqué pour me dire que j'étais licencié en février, sans respecter la procédure (entretien préalable...), en me demandant d'antidater la procédure à postério. J'ai refusé et j'ai de suite signifié que j'étais licencié mais que la procédure n'avait pas été respectée... Ca les a beaucoup énervé. Ils ont du coup fait ça dans les règles un mois plus tard mais ils ne pourront pas justifier leur comportement passé auquel ils n'ont jamais oposé de démenti.
Sinon, je viens de recevoir la lettre de licenciement. Ca peut faire peur parfois et surprendent (on se demande si vraiment ils pensent les boss pensent cela de nous ???). Il faut cependant savoir qu'il piochent des arguments dans des bouquins du genre le licenciement pour les nuls. J'étais par exemple ravi d'apprendre que j'étais incompétent, que je ne savais pas écrire, que j'ultilisais des titres que je n'avais pas droit d'utiliser... (preuve qu'ils n'ont jamais lu mon contrat de travail...)
Donc Gaël accroche toi, c'est forcément dur à vivre, ça coupe l'énergie pendant quelque temps mais quand vient le soulagement...

mais quand vient le soulagement...

...t'achètes un RS 700 !!!
Désolé Cédric, je n'ai pas pu m'empêcher de faire la rime...

Fréd.