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7 years 2 months ago #183188 by Cédric F
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www.voilesetvoiliers.com/course-regate/m...vial-et-de-qualite-/

Tout gamin j'étais passionné par cette épreuve, par les bateaux que j'y voyais. C'est une excellente nouvelle. Et de voir un ancien coureur parler de mélanger tous les multis, tous les niveaux et de mettre de la convivialité dans l'ensemble, ce n'est que du bonheur !

Breizh Skiff Project, YCCarnac.

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6 years 9 months ago #184970 by Cédric F
Replied by Cédric F on topic Revue de presse
www.yachtsandyachting.com/news/201245/Snakes

Après la première partie que j'avais postée dans le sujet sur les ratings, la deuxième partie de cette publication sur la voile légère anglaise.
Que j'aimerais que ces contributions soient traduites en français pour ceux qui ne lisent pas l'anglais !
On n'a pas un prof ? Yann ? :P

Breizh Skiff Project, YCCarnac.
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6 years 9 months ago #184974 by Ian 23
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Cédric F wrote: www.yachtsandyachting.com/news/201245/Snakes

Après la première partie que j'avais postée dans le sujet sur les ratings, la deuxième partie de cette publication sur la voile légère anglaise.
Que j'aimerais que ces contributions soient traduites en français pour ceux qui ne lisent pas l'anglais !
On n'a pas un prof ? Yann ? :P


Oui c'est vraiment bien écrit et marrant à traduire... et surtout très vrai. Je vais m'y coller mais il me faut un peu de temps pour lui rendre justice...c

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6 years 9 months ago - 6 years 9 months ago #184987 by Ian 23
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« Snakes- Recule de 6 cases! », ou comme dirait le Caporal Fraser « On est tous fichus! »

Le titre provisoire du deuxième chapitre de ce travail en trois parties est « Snakes (recule de 6 cases) » (1) . Celui de la troisième partie sera donc « Ladders- avance de 6 cases ». Ces textes complètent ainsi la première partie, intitulée « Je ne suis pas un numéro » et visent à étayer mon propos principal: le sport/loisir qu’est la voile légère traverse depuis longtemps une période de changements fondamentaux dont les effets ne se font vraiment sentir que maintenant.

Nous devrions nous préoccuper de ce que la plupart de ces changements sont des indicateurs de tendances à la baisse et que malgré des vêtements techniques permettant de naviguer toute l’année et un large choix de bateaux accessibles sur le marché, les chiffres-clefs et ce qu’ils sous-tendent sont les signes d’un sport en déclin. Cette affirmation servira surement de déclic pour quelques énervés du clavier qui se fendront d’une de leurs missives habituelles, avec une formule d’appel en « cher monsieur » et une longue description de la manière dont leur club anime une section jeune dynamique avec des milliers d’acteurs au quotidien; je ne nie pas qu’il existe des structures très innovantes qui font un travail remarquable.

Il est en effet toujours agréable dans le milieu de la voile moderne de voir des sections jeunes actives et en développement, mais on ne pourra savoir que dans la durée si l’intérêt qu’elles suscitent aujourd’hui se transformera en une pratique adulte bien ancrée demain.

J’ai été surpris de voir, suite à la parution de mon article « Je ne suis pas un numéro », que malgré la grande variété des réactions qu’il a engendrées, très peu ont nié le fait qu’il y a déjà eu par le passé une extinction de masse du côté des dériveurs. Tout au long des années 50, le succès du système de rating (PY) a permis le développement d’un grand nombre de classes qui ont remplacé les dériveurs existants de l’époque, comme le Stormalong qui, à une ou deux exceptions près, s’est vu relégué aux livres d’histoire navale.

Malgré leur présence tenace chaque année au Dinghy Show, il y une réalité plus sombre hélas: bon nombre de classes en sont réduites à « s’accrocher » et ne restent en vie que par ce qu’on pourrait affectueusement appeler un « canal historique ». Il n’est pas difficile de désigner les classes pour qui les heures sont comptées…

Après tout, ces changements ne sont rien de plus qu’un processus de selection naturelle dans un sport qui s’est toujours développé de façon ad hoc et sans réelle structure. Il a sans doute semblé à un moment qu’au Royaume Uni, non seulement chaque plan d’eau possédait son club de voile, que ce soit en bord de mer, sur un lac artificiel ou une de nos magnifiques rivières, mais qu’en plus, nombre de ces clubs servaient de quartier général à des classes qui s’y étaient bien implantées sans vraiment l’être ailleurs. Si l’on revient aux années 60, on aurait pardonné à n‘importe quel oeil observateur d’appeler cela un joyeux bazar! Car en vérité c’ était bien cela. Trop de bateaux différents rimait avec trop peu d’économies d’échelles et une construction navale maintenue de fait au stade de l’artisanat. Le modèle des associations de classe, mis au point par les Merlins (avant qu’ils ne s’associent au Rockets) fonctionnait plutôt bien, mais allait mener à trop de repli sur soi, chaque classe manœuvrant pour ménager ses intérêts et promouvoir leur propre petit bout de terrain.

Ceux qui se sont penchés sur l’histoire de la régate en voile légère peuvent répondre d’un sourire indulgent lorsqu’ils entendent certains se plaindre de ce qu’il y a « trop de classes » aujourd’hui , car il y en avait beaucoup, beaucoup plus par le passé. Les chances se survie de nouveaux plans, si attractifs soient-ils, étaient très maigres, tant ailleurs on se battait pour préserver ses intérêts et instaurer le statu quo. On a aussi vu le début et la fin de la construction amateur, bien aidée par des plans astucieux et faciles à réaliser, puis par les avantages du cousu-collé et du kit pré-assemblé réduisant encore plus tout le travail du bois nécessaire à la fabrication.

Et malgré cela, de nouvelles classes continuaient de faire leur entrée. Peter Milne, qui avait vu dans le mille avec son Fireball, chercha à doubler la mise avec son Mirror 14. Avec 700 bateaux vendus, il serait for mal venu de parler de ce bateau comme d’un échec, mais au bout du compte, même en se libérant du nom du Daily Mirror et l’insistance du tabloid à garder les voiles rouges à l’image de son logo, le Marauder (son nouveau sobriquet) ne parvint pas à se sauver d’un destin semblable à celui du Stormalong, une génération plus tôt. Cette situation se fit même sentir au niveau international, comme pu en témoigner le coeur de l’activité dériveur après avoir traité avec dédain l’arrivée du 470 et ses belles promesses de voile Olympique accessible. Ici, dans ces contrées British pré-européennes, on avait le Fireball et le Hornet, que l’on appréciait et voyait comme les symboles de la scène britannique et on pouvait donc se permettre d’ignorer ce nouveau beau gosse (en plus il était français… quelle horreur!).

Malgré tout, en dépit des effets de fragmentation en clubs et en classes de plus en plus répandue, la voile loisir - et la voile sportive (car elles sont chacune le revers de l’autre) continuait à éclore au Royaume Uni. Au milieu des années soixante et des « Swinging Sixties », la voile légère embarquait donc pour les deux décennies de son age d’or.

Il est facile de lancer ça et là des explications à « ce qu’il s’est passé ensuite » et on pourrait tout-à-fait remettre en question les décisions majeures des politiques menées en notre nom par l’administration de notre sport. D’autres pointeront du doigt l’introduction de la TVA en 1973 qui vit s’envoler le prix des dériveurs par leur classement en objet de luxe (comme beaucoup d’autres choses d’ailleurs). D’autres encore prétendront que c’est l’arrivée du phénomène Laser qui entama le processus de détournement des amateurs de voile de la navigation en double vers la navigation en solitaire.

Si toutes ces explications sont valables, il est vrai que d’une certaine façon, le Laser a bien des comptes à rendre, car même si on ne s’en apercevait pas, il était le symbole de la société dans son ensemble, en pleine mutation, tandis que le monde intrinsèquement conservateur de la voile était déterminé à garder ses petites habitudes.

Jack Knight, notre irascible chroniqueur et souvent (« souvent », comprenez « toujours ») prompt à la controverse, ici à Y&Y, avait bien mis le doigt sur ce phénomène il y a quarante ans. Jack s’était acheté un Laser et était un fervent défenseur de ce bateau. Ce phénomène, donc, tournait autour de la notion de temps. Il écrivait qu’on pouvait choisir de passer du temps chez un accastilleur/ship, à hésiter entre une poulie RWO sans ringot ou une Barton avec, ou simplement prendre un Laser et aller naviguer.

Il y avait eu des Single Manufacturer One Design par le passé. En effet le Firefly de Fairey, dans les années 40, pouvait être classé comme tel mais le Laser ira bien au delà dans l’application concrète de cette démarche. Comme d’habitude, Jack avait tout compris dans ses observations en expliquant que tout en ayant gagné en pouvoir d’achat, nous avions tous perdu en disponibilité. Et il y avait de plus en plus de choix possibles pour occuper notre temps libre à l’heure ou les vols à bas prix permettait pour ainsi dire à tout un chacun de partir découvrir le monde s’il le souhaitait.

Evidemment cette nouvelle liberté de voyager en avion, accompagnée d’une autre avancée, celle de pouvoir envoyer n’importe quoi n’importe où en container, allait inaugurer une nouvelle ère dans les compétitions internationales. Bye bye Bognor Regis, on file aux Bermudes ou à Brisbane! Comme si ce n’était pas assez, le développement des RORO trans-manche (le tunnel n’était alors qu’un vague fantasme) signifiait que vous pouviez atteler votre remorque combi- encore une invention qui changeait la vie- et faire la route jusqu’à La Baule ou Berlin, même quand il y avait encore le mur, ou descendre vers les lacs italiens. Le syndrome des Rosbifs à la plage de Magaluf n’avait pas encore atteint les hooligans et l’on pouvait encore voyager en Europe, s’éclater en navigation, faire les fous à terre et revenir en se disant que la voile était le meilleur sport du monde.

Note de l’éditeur: S’il y a bien un exemple qui illustre ce qui a changé entre cette époque-ci et la précédente, c’est bien celui d’aller naviguer au nord du Lac de Garde. Aller régater là-bas au début des années 70 était une véritable aventure. Il fallait un permis de conduire international, un certificat de compétences pour la navigation, des bons de carburant pour l’Italie et un bureau de change rien qu’à soi pour tenir le compte de la multitude des devises. Il fallait en plus prévoir du temps, car avec sept contrôles douaniers à franchir et leur inévitables fouilles, bref on était pas prêts d’arriver à Garde! Et puis il y avait l’Allemagne où vous pouviez être arrêtés et fouillés à nouveau pour vérifier que nous ne cachiez pas un terroriste de chez Bader-Meinhoff dans vos malles à matos.


Et pourtant, alors qu’on trouvait que tout était génial, de véritables changements commençaient à gagner notre sport. Avec le recul, on peut se dire que cela est venu d’en haut et est descendu petit à petits dans les rouages, tant il y a eu un lien flagrant entre le haut niveau et la perte de la masse critique. Les 505 ont senti le vent tourner assez tôt quand après des décennies à plus de cent bateaux pour se qualifier parmi les douze représentants aux mondiaux, ils luttaient pour trouver assez de bateaux pour remplir ces mêmes places. Des classes de niveaux semblables connurent le même déclin dans leurs nombres et même la naissance de la révolution skiff, si attrayante, ne parvint pas vraiment à stopper l’hémorragie et la fonte de la masse critique.

Certains seraient bien inspirés de rappeler ici les pertes causées par la bulle du windsurf, qui ne fit pas seulement se détourner les pratiquants du dériveur mais mit à mal la vie de club dans son ensemble. Pourquoi payer des frais d’inscription, accomplir des taches qui tombent toujours les jours de super conditions météo, donner de son temps précieux pour repeindre les toilettes des femmes quand on pouvait choisir son créneau, se rendre à n’importe quelle plage en voiture, gréer sans se soucier de tous les réglages à la noix, tirer des bords à fond avec des gens sympas avant de rentrer à la maison une fois qu’on en avait assez, et pas avant?


Pour une société qui devenait encore plus obsédée par la notion de temps et paradoxalement soumise à des règles et des institutions tatillonnes expliquant à longueur de journée ce qu’on pouvait faire ou ne pas faire, la planche offrait un grand bol d’air et de liberté. L ‘éclatement de cette bulle (oui, je sais bien, je sous entend ici qu’il y a eu une grande part de négligence derrière la chute elle aussi précipitée de la planche, mais ce n’est pas notre sujet ici) n’a pas réussi à faire revenir en masses les adhérents perdus vers le monde de la voile légère.

Dans les années 90, la contagion était partie des bateaux de très haut niveau et commençait à atteindre le coeur de la pratique dériveur à double rappel au Royaume Uni, avec ou sans spi. Une des figures de proue de la scène dériveur britannique, le Merlin Rocket fut particulièrement touché. L’arrivée sur le marché de nouveaux plans commençait à rendre les bateaux existants tellement lents qu’ils en devenaient obsolètes. Des enthousiastes ayant attendu des mois la fabrication et la réception de leur bateau « neuf »- mais tellement ancien- se voyaient livrer un éléphant blanc, cher, que personne d’autres qu’eux mêmes ne voulait vraiment. Pire, les nouvelles coques et leur gréement amélioré virent le poids des équipages champions de classe passer du poids de marins bien portants (165kg) à celui d’un équipage anorexique (135kg). Les Merlins allaient finir par se forger une nouvelle identité mais pas avant que l’arrivée du RS400 ne change complètement les règles du jeu, de la façon la plus positive qui soit.

On se retrouvait avec un « quasi-Merlin », en One Design strict, donc sans obsolescence dès qu’arriverait la moindre innovation. Il résistait bien au poids d’équipage, était un vrai régal en navigation et bien qu’étant équipé de trois voiles, se rapprochait du laser dans sa manière de faire la part belle à la navigation plutôt qu’aux réglages sans fin. Cela contrastait encore plus avec le Merlin Rocket et son système de réglage de quête de plus en plus compliqué.
Il est difficile d’exagérer l’impact qu’a eu l’arrivée du RS400 sur le marché, non seulement de par les qualités intrinsèques du bateau, mais aussi de par la manière dont il posa les bases d’une dynastie entière d’autres bateaux. Une fois les flottilles de 400 bien installées, de nouveaux plans arrivaient sur le marché. Nombre d’entre eux était innovants et complètement précurseurs. Le 300 a toujours gardé son air futuriste et le 800 est quasiment imbattable quand on veut « en avoir pour son argent ». Le 200, lui pendant ce temps là, a quasiment redéfini le double rappel pour poids légers, devenant ainsi le bateau préféré des couples.

Au coeur du message que semblaient porter ces bateaux, il y avait l’idée qu’aller naviguer et régater était avant tout un plaisir et un plaisir tout à fait accessible sur un RS. La disparition de cette notion de Plaisir est un sujet que notre sport pourrait et devrait bien regarder de près. Une des raisons du succès de la marque RS ne tient-elle pas aux événements qu’ils organisent et qui offrent une formule fun, pleine d’activités extra-sportives? Tandis que les acteurs de la voile se concentrent d’une part sur le petit mais non moins talentueux groupe des foilers (surtout rappelez-vous bien de leur message: « le foil c’est l’avenir! ») , les filières jeunes et olympiques d’autre part et enfin les autres événements à grand spectacle (la Volvo et l’AC), on oublie facilement le déclin de la pratique de club. Nous avions exploré ce tort dans l’article « Où est passé le plaisir dans la voile? » et la réponse est qu’il y a toujours beaucoup de plaisir à prendre, mais il n’est forcément là où il était avant.

Pour certains, la condition sine qua non du plaisir en navigation tient dans les chiffres, tant on ne peut douter que le vieil adage « Plus on est de fous plus on rit » vaut encore et toujours. Et il y a bien sûr aussi une question d’age derrière tout cela, car un bon groupe de jeunes est plus prompt à faire renaitre le sens de la fête qu’une poignée de candidats au prix du « vieux schnock de l’année », surtout si l‘on fait attention à ce que ce bon groupe soit un savant mélange de gars et de filles. Il y a aussi bien d’autres facteurs facilitants: le choix du lieu, le calendrier et la météo peuvent être cruciaux, sans parler de l’organisation….

Et malgré tous ces facteurs; il serait simpliste et pire, complètement faux de tenter de dépeindre le milieu de la régate en voile légère comme étant un univers en pleine morosité où pour reprendre le personnage de Dad’s Army, le capitaine Fraser, nous serions « tous fichus! ».
Et pourtant quel que soit le système de mesure, les signes sont bien là que nous traversons des changements de société accélérés par le développement sans fin du mode de vie connecté, que nos bateaux ne sont plus les mêmes, que la courbe démographique fléchit véritablement et que l’érosion du système actuel de classe n’est donc plus une possibilité mais un fait.

Il y a 80 ans, la voile légère était un sport élitiste et cher auquel s’adonnaient principalement des jeunes hommes intelligents issus de la classe moyenne d’avant guerre. Il a fallu les efforts de visionnaires comme Jack Holt ou Ian Proctor pour démocratiser la voile légère en en faisant un sport accessible à tous. Y a-t-il un danger, si l’on se projète dans l’avenir, que la régate retourne à ses origines et redevienne ce sport cher et élitiste, pratiqué dans des bateaux à très hautes performances ne pouvant être barrés que par un groupuscule de marins à plein temps, superbement athlétiques ne se déplaçant que d’un événement télévisé à un autre?

C’est en tout cas une vision de l’avenir qui n’annonce rien de bon pour la base large et hétérogène de l’activité voile et son programme hebdomadaire (même si on peut penser que les sorties informelles sur des bateaux en rotomoulé, dans un programme « je paie je joue » pourraient combler le vide créé).

On peut toutefois réécrire ce scénario et en changer le denouement, mais en faisant cela, certains de nos idéaux -et certaines de nos institutions- pourraient bien être amenées à être sacrifiés pour garantir un avenir meilleur à tous.

Dans la partie 3 « Ladder- avance de 6 cases » , nous étudierons les alternatives possibles à ce scénario funeste en examinant des solutions attrayantes et innovantes- mais je suis sûr que vous en trouverez d’autres encore meilleures. Cela est non seulement possible mais complètement réalisable, pour que les mots durs du Colonel Fraser soient remplacés par ceux de Baldrick, dans Blackadder, qui ne ratait jamais une occasion de nous dire qu’il avait « un plan génial »…

1- « Snakes and ladder » est une sorte de jeu de l’oie où l’on recule si on tombe sur un serpent et on avance si on tombe sur une échelle. En voile, c’est une métaphore fréquente pour représenter les shifts, ados/refus sur un plan d’eau en régate.
Last edit: 6 years 9 months ago by Ian 23.
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6 years 9 months ago #184990 by Cédric F
Replied by Cédric F on topic Revue de presse
Superbe boulot Yann ! Quelle belle traduction ! Hat off !

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6 years 9 months ago #184991 by Ian 23
Replied by Ian 23 on topic Revue de presse
My pleasure! Faudrait que je songe a la donner en version pour des Prepas!
Marrant de voir qu’il n’y a pas une seule référence au mot « «catamaran » ou « kitesurf » dans son texte...

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6 years 9 months ago #184992 by Thierry
Replied by Thierry on topic Revue de presse
Bravo! Article intéressante et drôle, ce qui ne gâche rien...

On attend avec impatience les deux autres.... B) B) ;)

Lyman N°55055 - 1958
Guépard N°114 - 2012
Site Web: www.tgmp-architectes.fr

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6 years 9 months ago #185035 by PS85
Replied by PS85 on topic Revue de presse
Excellent et passionnant article qui pose bien les choses. j'attends également la suite avec impatiente. Un grand merci au traducteur

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6 years 4 months ago #186074 by Cédric F
Replied by Cédric F on topic Revue de presse
www.letelegramme.fr/voile/mike-birch-je-...06-2018-11991214.php

Euh, franchement Mike, il ne vieillit pas bien. Ou alors c'est une blague...

Breizh Skiff Project, YCCarnac.

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6 years 4 months ago #186079 by Sudiste
Replied by Sudiste on topic Revue de presse
C'est clairement dit!

laser 4000 4575

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6 years 4 months ago #186089 by Thierry
Replied by Thierry on topic Revue de presse

Cédric F wrote: www.letelegramme.fr/voile/mike-birch-je-...06-2018-11991214.php

Euh, franchement Mike, il ne vieillit pas bien. Ou alors c'est une blague...


Oh là... Etrange... Doit y avoir des cadavres dans les placards...

Lyman N°55055 - 1958
Guépard N°114 - 2012
Site Web: www.tgmp-architectes.fr

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6 years 4 months ago #186092 by erriep
Replied by erriep on topic Revue de presse
ça me rappelle une histoire aussi avec L. Peyron, lorsqu'il cherchait des financements pour sa campagne de la coupe Energy Team. Il citait souvent un champion de match race (avec un nom scandinave, mais je ne m'en rappelle plus, Holmberg?), et ce dernier avait aussi émis un communiqué pour expliquer qu'il n'avait aucun lien avec Peyron.

Evidemment, les histoires de Peyron et Birch sont malgré tout liés, ne serait ce que parce que L. Peyron a navigué sur Formule Tag, et que Peyron a repris le magnifique Fujicolor 2 (avec un grand succès), au désespoir de Birch qui vieillissait.

Pour le Rhum, le fait que Birch soutienne le collectif "98 secondes" et pas "be happy", ça ressemble à une histoire de capelle, pardon chapelle!

Quoiqu'il en soit, le communiqué de Birch est respectable. ça ne me fait pas penser que Birch vieillit mal.

Voltige Waszp 2158
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6 years 4 months ago #186098 by Cédric F
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C'est certain qu'il y a sans doute eu du contentieux entre les deux, notamment au moment du passage de relais à l'époque de Fujicolor. Tu as aussi raison sur les histoires de soutien au différents collectifs vintage mais bon... L'appellation Jedi est finalement assez respectueuse tout en restant humoristique. En soulignant cela Mike Birch montre qu'il n'est pas très rigolo...

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