laser 4615 au planning sous spi à wimereux

bonjour,

le week end en célibataire et sans enfants a enfin permis la sortie du 4615.
force 2 samedi, 3 dimanche. Pas encore baston, je vous l'accorde.
En alternant avec un équipier issu du HC16 (95 kg quand même), en plus de mes 82 kg, nous avons planné une partie de l'après midi hier malgré les echelles trop sorties pour nos gabarits.

Bateau beaucoup moins instable que je ne craignais, gîte excessive possible à rattraper, ressalage facile même avec un quintal dans les echelles, mise à l'eau pas si dramatique.

Excellente entrée en matière, très bonnes sensations et très rassurante par rapport à ma crainte du skiff.

Quelques questions toutefois :
- l'envoi du spi : quand il est au vent du foc, comment évitez vous qu'il vienne le recouvrir? (barreur prend de l'écoute?). Pareil à l'affalage, ça me fait mal de le voir frotter contre l'étai.
- la dérive dure. est-elle manoeuvrable si pas face au vent (on a pas essayé à l'envoi du spi)
- un anneau brisé s'est cassé sur un axe de sangle à l'arrière. Respectez vous le schéma de montage du guide laser?

Impressionné également de voir la sympathie auprès des autres voileux (effet du skiff).

Pas trop de déplacement cet été avec, mais il bougera l'année prochaine
(on aura le temps de progresser d'ici là)

A+

Attention à ne pas trop sortir les échechelles avec vos gabarits, le mat risque de ne pas trop apprécier...

Pour l'anneau brisé de la sangle, il faut respecter le guide montage afin que l'anneau se retrouve à l'arrière de l'aile.
Pour le spi, effectivement le mieux est de privilégier l'envoi et l'affalage en tribord, pour que la baille se retrouve sous le foc.
La dérive ne se touche pas en navigation.

Pour le spi, il vaut mieux se débrouiller pour l'envoyer et l'amener sous le vent du foc, sinon il faut abattre énormément mais ça marche.
La dérive, comme dit JB, on n'y touche pas sauf dans la brise où il peut être intéréssant de la relever de quelques centimètres.
a+

bonsoir,

Nav hier matin, force 3 fraîchissant rapidement à 4 avec bonnes rafales.
Les échelles reglées pour mon équipier de 95 kg se sont révélées bien trop proches de la coque pour l'étudiant peu réveillé de 70 kg que j'ai finalement embarqué.

Pas assez à l'aise au trap pour envoyer le spi.

Quelques questions encores :

jusqu'à quelle force vous tenez facilement vos skiff?
j'ai du mal à trouver une position correcte, notamment pour gérer l'assiète.
Je suis souvent obligé, dans les molles, de me recentrer dans le bateau. Dois-je botter le cul de mon équipier pour qu'il rentre plus rapidement? ou border plus rapidement ma GV quand je loffe?
J'ai accessoirement l'impression de faire un cap déplorable.

Sinon, même sans spi, dès que j'abattais, les sensations étaient grandioses.

J'ai pu vérifier la rigité de la dérive (cf post rs 600) et l'intérêt (en vrac) des bidons en tête de mat (le bateau a eu envie de chapeauter avec le mat face au vent et aux vagues) et de choquer le HB quand on redresse le bateau.

merci de vos conseils éclairés.

Vincent

Ca fait beaucoup de questions....
- Au delà de 25/30N ça devient difficile (du moins pour nous) mais c'est faisble.
- Le réglage de l'assiette est primordial sur ce type de bateau et c'est le plus difficile, car il faut une trés bonne synchronisation des 2 personnes ainsi que beaucoup de réactivité, contrairement au catas qui sont beaucoup plus tolérants.
- Il est normal d' ajuster sans arrêt sa position de rappel et de trapèze, surtout dans des vents faibles.
- UNE SEULE solution pour y arriver : naviguer, naviguer, naviguer,......

ne pas lire "faible" mais "faisable"

Je crois aussi que pour bien gérer l'assiette et la puissance du bateau il est nécessaire d'avoir une bonne communication entre équipier et barreur. Il faut que le barreur sache (même s'il peut le voir) si l'équipier a encore de la réserve pour appuyer plus, mais surtout il faut que le barreur communique à l'équipier s'il a encore de la réserve de puissance dans la grand voile ou pas. Sinon tu risques de naviguer "bridé".
Pour naviguer dans du vent, dessales en début de nav et profites en pour règler la tension des latte de GV. Tu pourras, en détendant celles du haut, mieux faire vriller la voile. Chose impossible quand les lattes sont sous tension. En tous cas tu laissera passer la puissance plus profitablement.










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