Passer au skiff

Voici un résumé d’un article d’Andy Rice intitulé « Nouveau challenge : skiffs » dans le Yachts and Yachting du 18 juin.

Naviguer sur un skiff tient sur les mêmes principes que sur une dériveur traditionnel mais il y a également pas mal de différences.

Une définition du skiff est difficile mais globalement ils tendent :
-   à être construit de matériaux solides et légers (carbone, kevlar)
-   à avoir des entrées d’eau fines et un arrière plus large pour le planning
-   à avoir un spi asymétrique partant d’un bout dehors
-   à être capable de planer au prés comme au portant.

SPEED
La plus grande différence entre un skiff et un dériveur classique est la vitesse.
La vitesse est ton amie en skiff, elle permet d’être stable comme en vélo.
Avec la vitesse il faut comprendre et apprécier le fonctionnement du vent apparent.
Au prés il faut chercher le compromis vitesse cap alors qu’au portant chasser la risée est souvent l’option la plus payante.

TRAVAIL d’EQUIPE
On pense d’ordinaire que le barreur a un rôle plus important dans le déroulement d’une course ou 50/50 dans le meilleur des cas. En 49er on considère souvent le ratio à 30/70. Le plus important à comprendre par là c’est qu’il n’y a pas de passager possible sur un skiff.

ANTICIPATION
C’est une clé pour bien naviguer en skiff car tout arrive très vite. Il faut aussi bien prévenir des risées en les annonçant que remarquer le comportement des leaders. Il faut naviguer avec sa tête en dehors du bateau mais auparavant il faut savoir bien manier le bateau.

LES MANOEUVRES
En skiff sont moins permissifs et toute erreur est sanctionnée par un dessalage. Par contre les manœuvres sont plus simple (pas de bascules …) IL FAUT GARDER LE BATEAU A PLAT tout le temps.

Virement
Le but est de garder le bateau plat tout au long. Avec un grand gréement latté, il sera dur de réaccélérer si vous avez plus de 5° d’angle. Plus le passage de trapèze a trapèze sera effectué rapidement et délicatement plus vous en sortirez vite.

Empannage
Encore une fois rester a plat est rapide. Le but étant de rester un minimum de temps au milieu. Un autre point crucial est de barrer doucement (le coup de barre de 90° donnera le plus rapide est le plus moche dessalage de votre expérience dixit Andy). L’équipier doit se concentrer à aller de l’autre côté avant de s’occuper du spi. Un fois le mouvement acquis il sera toujours temps de l’améliorer en faisant un seul mouvement avec le barreur et en sortant spi bordé.

L’abattée
Sur tout autre bateau l’abattée n’a rien de remarquable. En skiff il s’agit du moment le plus hasardeux. Encore une fois il faut garder le bateau plat. Il faut abattre le plus rapidement possible en relachant la GV et le foc et avec l’équipage à l’arrière du bateau. Le but est de passer le plus vite la « death zone » (zone autour du travers ou on accélère qu’on lofe ou qu’on abatte). Le bateau redevient miraculeusement doux une fois arrivé au vent arrière et il faut bien vite rentrer.

Bon pour finir il y a une petite note sur le planté de bâton (« Pitch poling ») que j’éviterai pour ne pas refroidir les foules.

Bon pour finir il y a une petite note sur le planté de bâton (« Pitch poling ») que j’éviterai pour ne pas refroidir les foules.

le planté, lé planté!!! di nous tout sur le "pitch poling"!!
je veux savoir!!

file moi le lien pour que je puisse lire la suite!!!
promesse de scout, je ne serais pas refroidi !!!

Bah justement il n'y a pas de lien, j'ai fais la traduction et le résumé d'un article de journal

donne le nous qd même!!
tu n'a qu'a mettre au début: " DEBUTANTS S' ABSTENIR"
et le tour est joué!!