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le ressalage
- jean gui
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quelle son les clef pour reussir un ressalage du pemier coup
(si possible sans monter sur la derive)
a+
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- antoinetolosane
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2 / choquer la grand voile et le foc
3 / attraper la dérive, sans à-coup exercer le plus grand couple de rappel possible, c'est à dire se mettre le plus à l'arrière, mettre les pieds sur la coque de façon a voir ce couple maxi.
4 / le bateau se met bout au vent naturellement, lorsque le mât effleure l'eau, attendre qu'il soit bien face au vent avant donner le dernier coup de rein pour le redresser.
Antoine Tolosane
RS700 GBR 983 - Bladerider 3301 - L4000
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slt
quelle son les clef pour reussir un ressalage du pemier coup
(si possible sans monter sur la derive)
a+
Ce n'est pas possible de ressaler un dériveur sans monter sur la dérive
moth mach2 3704
crôôôaa
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Si c'est possible, mais ça dépend de nombreux facteurs : notamment le dériveur en question (je ne suis jamais monté sur la dérive de mon 470 pour le redresser et je n'ai pas le temps de monter sur la dérive du Vago pour que ce dernier se redresse également !) et du gabarit de celui qui barbote autour du bateau (en ce qui me concerne, 1,95 m pour un peu plus de 100 kg... à l'époque ! ).jean gui écrit:
slt
quelle son les clef pour reussir un ressalage du pemier coup
(si possible sans monter sur la derive)
a+
Ce n'est pas possible de ressaler un dériveur sans monter sur la dérive
La technique évoquée par Antoine fonctionne effectivement bien, mais encore une fois ça dépend pour quel bateau et avec quel bonhomme (ou bonne femme). Bon, et une fois que l'on a ressalé, il faut encore remonter dans le bateau, ce qui n'est pas forcément plus facile que de monter sur la dérive...
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- jean gui
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- antoinetolosane
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Antoine Tolosane
RS700 GBR 983 - Bladerider 3301 - L4000
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2bis) Choquer le hale bas de GV, sinon ça peut durer très longtemps...1/ rentrer le spi
2 / choquer la grand voile et le foc
3 / attraper la dérive, sans à-coup exercer le plus grand couple de rappel possible, c'est à dire se mettre le plus à l'arrière, mettre les pieds sur la coque de façon a voir ce couple maxi.
4 / le bateau se met bout au vent naturellement, lorsque le mât effleure l'eau, attendre qu'il soit bien face au vent avant donner le dernier coup de rein pour le redresser.
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Certes ça facilite l'accès au bateau, mais les dériveurs modernes se caractérisent également par des GV nettement plus lattées que les "tradi", quand elles le sont pas entièrement, si bien que la position "bout au vent" n'est pas tenable bien longtemps et encore moins lorsque l'on s'agrippe vers l'arrière du bateau. J'ai connu quelques difficultés avec le Vago (et la GV ) en solo cet été : ça m'a pris près de 20 minutes à me retrouver à l'intérieur et prêt à repartir ;angry;. Alors que je pensais ma technique de ressalage parfaitement au point, après des années de pratique en 14' , il a fallu tout réinventer par le simple fait que je ne pouvais pas monter sur la dérive car le bateau ressalait avant même que j'ai eu le temps de monter (comme expliqué plus haut). Finalement, j'ai carrément fait chapeauter le bateau, pour me permettre d'être sur la dérive et de monter dans le bateau au moment où il remontait. Évidemment, à deux, c'est nettement plus gérable !mais l avantage des deriveur moderne c est qu ils sont généralement ouverts a l arriére
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- jean gui
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pour moi sa ressemble plus a une baléneOUI on glisse comme des otaries... et on dechire les combinaisons
c est comme le patinage artistique chaqun a sa facon
sa me rappelle aussi le mono des glénans qui me tirais par le gilet pour m aider a monter
dans le vago lors du dépars de plage et il criait: on va dessaller!!!
pour le hal bat c est vrais mais en laser si tu te dépéche pas le bateau te chapote dessu
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- François M.
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Le fait d'être capable de monter sur la dérive et de passer dans le bateau directement lors du ressalage me paraissent de bon indicateurs de l'état de fatigue: quand on n'en est plus capable, il faut peut être songer à rentrer se reposer avant la prochaine navigation.
Si vous voulez aller sur leau sans risque de chavirer. Nachetez pas un bateau, achetez une île. [Marcel PAGNOL]
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- jean gui
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donc muscu obligatoire si tu veux faire de la voile!!!
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- laurent874
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donc, de manière préventive soit mettre un coupe vent ou un lycra si on préfère le harnais par dessus le gilet, soit mettre le gilet par dessus le harnais si le type de gilet le permet et si cela évite le scénario "dérive" (dans ce cas, le gilet remonte un peu au trap, mais avec un modèle court à 50N de flotabilité, c'est pas génant).
une fois monté sur la dérive, on peut controler le couple de ressalage en s'éloignant plus ou moins de la coque. on peut aussi se servir des écoutes de spi pour se tenir au bateau.
dans cette configuration, pas de problème à monter dans le bateau dans passer par la case eau au moment du ressalage. du coup, cela permet d'éviter que le bateau parte de l'autre coté car le barreur est dans le bateau dès qu'il est redressé. Ca, c'est pour le barreur...
si l'équipier se tient au niveau des barres de flèches sous le vent (une fois spi affalé, foc, GV et hale bas choqués), il peut aussi rentrer dans le bateau au moment du ressalage sans trop d'effort. cela peut ne pas marcher sur certains bateaux (recouvrement du foc et sécurité).
il vaut mieux que ce soit le barreur qui monte sur la dérive plutot que l'équipier pour un skiff avec trap simple car la boucle de trap peut abîmer la dérive.
autre détails : si chapeauté, mettre le bateau sur la tranche avant les diverses opérations de choquage / affalage car ça peut craindre au niveau sécurité d'avoir qqu'un sous le bateau avec tout les bouts qui trainent...
Sinon, pour éviter le plat de spaghetti avec les écoutes de spi, je les bloque au niveau des poulies de renvoi avec un noeud de galère, (ou noeud de drisse sur www.lesnoeuds.com ). et je bloque aussi l'écoute de GV (à une sangle de rappel) après lui avoir fait un noeud en 8 au bon endroit pour éviter que la bome ne puisse se fracasser sur (ou fracasser) les haubans lorsque la GV est déchoquée en grand.
toujours concernant les écoutes de spi : elles sont gréees en continu sur un skiff alors qu'elles ne le sont pas sur un croiseur (sans noeud d'arrêt non plus) : ce serait d'ailleurs super dangereux de le faire : lors d'un départ au tas sur un croiseur, on peut en dernier ressort lacher les écoutes et (surtout) de la drisse. J'ai vu des skiffs avec des écoutes de spi gréees comme sur un croiseur (VAGO, surement par expérience du proprio, j'ai pas demandé). Je pense que cela ne sert à rien. confirmations???
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Confirmation !!!J'ai vu des skiffs avec des écoutes de spi gréees comme sur un croiseur (VAGO, surement par expérience du proprio, j'ai pas demandé). Je pense que cela ne sert à rien. confirmations???
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- Vivi
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En effet, l'écoute que j'avais récupérée était légèrement trop courte.
Comme il y avait baston, on descendait beaucoup spi très ouvert. En gréant classique "skiff", l'écoute était complètement tendue sur tout le circuit. Spi gonflé et donc aucun contrôle et départ au tas obligatoire.
Du coup on a récupéré une deuxième écoute pour faire un circuit classique et pouvoir choquer... Ça fait du bien des fois !
Donc l'écoute trop courte dans trop de vent te ramène au croiseur !
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En même temps, ça ne te fait pas gagner grand-chose, puisque c'est simplement la distance de la poulie au vent aux mains de l'équipier au trapèze, donc au vent également. Donc 50 cm à 1 m, mais pas plus.Donc l'écoute trop courte dans trop de vent te ramène au croiseur !
Dans tous les cas, c'est mieux d'avoir des écoutes, et des bouts au sens large, de la bonne longueur... ;rolleyes;
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- Vivi
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Et ca évite surtout que la contre soit également blindée !
Et des écoutes de bonne longueur, c'est vrai que c'est mieux... mais c'était pas mon bateau !
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- Vivi
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- David Balkwill
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Du cote du dessalage je ne sais rien. Ca n'arrive jamais en Moth.
David Balkwill ; Used to be President IMCA France 06 70 25 30 18
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en double, nous, c'est l'équipier qui grimpe sur la dérive et on utilise l'option écopage pour le barreur ce qui permet d'avoir direct quelqu'un à la barre.il vaut mieux que ce soit le barreur qui monte sur la dérive plutot que l'équipier pour un skiff avec trap simple car la boucle de trap peut abîmer la dérive.
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