18 French grand prix à Carnac
Ca va être du beau spectacle !
PS Patrick : quand arrivez-vous à Carnac ?
Breizh Skiff Project, YCCarnac.
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On va arriver jeudi matin vers 8h00 (on va voyager la nuit)
Le jour ou l'homme a decouvert le lait, que cherchait-il exactement a faire a la vache ?
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Le jour ou l'homme a decouvert le lait, que cherchait-il exactement a faire a la vache ?
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Lyman N°55055 - 1958
Guépard N°114 - 2012 Vendu!
Bihan 6.50 N°347 en Juillet!
Site Web: www.tgmp-architectes.fr
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Parfum australien à Carnac
Ne pas voler le départ devient un art!!! C’est dans des conditions de reprise idéales que se sont déroulées les trois premières manches du premier Grand Prix du circuit européen de 18 pieds australiens, d’ors et déjà validé. Les douze bateaux inscrits se sont confrontés dans un vent de nord/ouest oscillant entre 12 et 15 nœuds, avec quelques rafales à 18.
Hormis l’équipage anglais de GP Covers, tous les concurrents avaient choisi de monter le petit gréement, afin d’éviter toute casse matérielle dès les premières manches.
Cette homogénéité dans les choix de voilure a permis à la flotte de rester relativement groupée, avec des écarts très faibles aux avants postes. Avalé en 34’30, la première manche du parcours banane (long d’un mille entre les deux bouées) est revenue à l’équipage anglais d’HERMES (Ed Browne, Mark Tait, Lachlan Torrance). Sur un parcours allongé de 300 mètres pour les deux régates suivantes, les anglais ont maintenu leur pression, su garder la tête froide et l’énergie nécessaire pour maintenir en respect leurs compatriotes de RADII (Andy Richards, Andrew Fairley, Dave Richards), concurrents directs et vainqueurs de la seconde manche. « Les compétiteurs anglais bénéficient d’une préparation supérieure », expliquait Christophe Orion, skipper de SEFICO, seul bateau français à suivre le circuit européen dans sa quasi intégralité. « Ils ont un championnat national et les équipages qui se sont aujourd’hui montré les plus véloces ont participé en février au championnat du monde australien, à Sydney. La participation de plus en plus massive d’équipages anglais - 4 équipages inscrits à Carnac, sur 12 au total, ndlr - sur le circuit européen est le signe évident que le circuit européen a acquit ces dernières années une vraie crédibilité ».
Dors et déjà validé, grâce aux trois manches courues, le Grand Prix de Carnac s’annonce comme une vraie réussite. Deux types d’épreuves sont programmées aujourd’hui, avec en matinée deux manches sur le parcours banane et dans l’après-midi, en fonction de l’orientation et de la force du vent, un parcours longue distance de 25 milles. Les équipages anglais, danois, suisses, italiens et français vont devoir à nouveau puiser dans leurs ressources, après une première journée « très physique ! » selon les dires des coureurs qui ont rarement plus de 20 minutes de récupération entre les manches pour récupérer. Les efforts que demandent ces monstres de puissance (110 m2 de toile au portant pour une coque instable de seulement 5,50 de long), sont en effets considérables et garantissent un formidable spectacle…à ne pas manquer !
Lyman N°55055 - 1958
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Mieux vaut une fille au pair qu'un homme à la mer... (pfff)
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- François M.
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Si vous voulez aller sur leau sans risque de chavirer. Nachetez pas un bateau, achetez une île. [Marcel PAGNOL]
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Du côté de la météo, malgré un temps mitigé, alternances de passages nuageux et d'éclaircie, le vent a été de la partie : jamais moins de 10 noeuds (sauf le dimanche matin) et jamais plus de 20 noeuds. Généralement le retour à terre se faisait sous le soleil. Je reprendrai les phrases de deux compétiteurs :
Le vainqueur Andy Richards qui au soir de la deuxième journée disait qu'avec un plan d'eau comme celui-ci et avec des conditions commes celles là, on comprennait pourquoi on faisait du 18 Pieds.
Et la phrase de Christophe Orion des Sables qui me disait que notre plan d'eau de Carnac n'a rien à envier à qui que ce soit. C'est pas moi qui l'ait dit.

Sur le plan de l'organisation de la course, le comité qui fait les régates de 18 à Carnac depuis 1998 commence à bien connaître le truc et les parcours étaient plutôt admirablement bien mouillés même pour la manche du dimanche matin dans un vent en plein rotation. Enfin 10 manches courrues sur trois jours est plutôt une bonne moyenne.
Le niveau est toujours très élevé pour les quatre cinq premier bateaux, le reste est plutôt disparatre. Ceci dit il fallait tenir compte que c'était la première régate de l'année et que beaucoup de bateaux ont sans doute une certaine marge de progression même s'il sera dur pour certain de rattraper les équipages anglais et Exel. Reste que le 18 Pieds ne s'improvise pas et les heures et les années pour certains passées sur ces bateaux font toujours la différence. Pour notre part, avec un équipage qui n'avait jamais navigué ensemble et dans des conditions assez difficiles et techniques, nous ne nous en sortons pas trop mal même si j'ai particulièrement craché mes poumons et payé mon manque de préparation physique hivernale et qu'à un moment donné je n'en pouvais plus et que je n'avais qu'un envie de retourner à terre. Pour ce qui est de l'équipage de Carnac, ne crachons pas trop dans la soupe, nous avons galéré au début aussi, peut être pas à ce point là quand même...
Maintenant, le 18 Pieds est de loin le plus extraordinaire des dériveurs mais le plaisir est tout juste proportionnel au moment de galères, à ces instants où on se dit que là c'est un peu trop... Ceci dit voilà qui ne peut que nous faire admirer ces types qui font le circuit et passe beaucoup de temps sur l'eau mais aussi sur les parkings à gérer toute la logistique que ces bateaux exigent.
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grandprix.18footer.org/2005/components/p...nac2005Broadcast.pdf
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Et t'as pas honte de mettre une photo comme ça en ligne, non ?et une dernière sur laquelle, pour faire écho à un sujet de débat, nous remarquerons qu'Exel l'équipage Suisse, a oublié la neutralité et se montre plus atlantiste qu'Européen...



Fréd.

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www.laurentvidal.com/2004/defiptitnav04/...04_0820_070206AA.htm
Julien Antier - Breizhskiff Project
International 14 - FRA 1571 - Windshear
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