C'est Lundi

QQ citations féminines....

Aujourd'hui, si un homme tient la porte pour une femme,
il y a de fortes chances pour que ce soit le portier.

Mae West
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Un célibataire est un homme qui a raté l'occasion de rendre une femme malheureuse.

Jasmine Birtles
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Coucher avec un vieux, quelle horreur ! ...
Mais avec un jeune, quel travail !

Alice Sapritch
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Les bons amants, ce sont les femmes qui les construisent.
Les hommes, il faut tout leur apprendre ... et surtout leur laisser croire le contraire.

Victoria Abril
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Je ne sais pas si le coeur des femmes est plein de surprises,
mais celui des hommes est bien monotone dans sa lâcheté...

Françoise Paturier
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J'ai mis du temps à me rendre compte qu'on nous avait cambriolés.
Je croyais que c'était mon mari qui cherchait des chaussettes propres.

P. Carlson
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Un homme fort ? Vous parlez musculature ?

Françoise Sagan
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Le nouvel homme a résolu à sa façon le nouveau partage des tâches
" Occupe-toi de tout et je ferai le reste. "

Michèle Fitoussi

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Une femme est une spécialiste de l'amour.
Un homme, un simple généraliste. "

Helen Rowland

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Il n'y a qu'un décolleté pour pousser un homme à rechercher la profondeur chez une femme.

Zsa Zsa Gabor

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Mon mari dit qu'il veut passer ses vacances
dans un endroit où il n'est jamais allé...
J'ai répondu : " Et pourquoi pas la cuisine ? "
Nan Tucket
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Le seul moment où une femme réussit à changer un homme,
c'est quand il est bébé.

Nathalie Wood

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La psychanalyse ne peut rien pour les hommes :
Pour remonter dans leur enfance, encore faudrait-il qu'ils en soient sortis ...

Barbara T. Smith

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Pour séduire les hommes, je porte un nouveau parfum
" Intérieur de voiture neuve "

Rita Rudner
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Je n'attendais pas grand chose de lui...
J'ai été comblée.

Laurence Tofu

hi hi hi...
tout n'est pas faux!..

mais rien n'est pas macho:
L'éternelle scission entre les femmes et les hommes sur les themes variés et rémanents tels la soumission, la séduction dirigée unilatéralement, le couple obligatoirement malheureux,l'acceptation condescendante des rôles, les caractères figés par rapport au sexe, et pour tout couronner, les centre d'interet des hommes, toujours et encore axés sur les valeurs libérales, parfaitement sexuée, et surtout génialement formatées.
Un régal.
Mais je sais que ce theme a déja été abordé.
La variante est ici de mettre les phrases dans la bouche de femmes, seules capables de valider et légitimer cette condescandance absolue envers le machisme.

C'est fou ce que ce thème revient régulièrement dans cette rubrique... On voit bien là la dérive d'une certaine forme de féminisme qui se développe sur un discours typiquement masculin dans le ton et l'esprit... Où quand le féminisme devient un "machisme inversé"... Cela entretient la guerre des sexes... Mais peut être que les féministes ont besoin de cela pour exister... Heureusement qu'il reste les bons mots pour se rassurer et éviter d'avoir peur par rapport à ce qu'il y a derrière ces discours...
Pour faire court, je me dis que je ne pourrais jamais tomber amoureux d'une fille qui, au delà de l'humour de ces phrases, croirait a ce qu'elle dit et adhérerait à ces citations, j'aurais trop l'impression d'aimer un homme... C'est d'ailleurs par pour autant que j'adhère à la formule de cet écrivain célèbre qui disait que "aimer une femme intelligente est un plaisir pédéraste"

ou la version machiste :

"aimer une femme intelligente est une utopie"


Aie aie .... je plaisante

C'est fou ce que ce thème revient régulièrement dans cette rubrique... On voit bien là la dérive d'une certaine forme de féminisme qui se développe sur un discours typiquement masculin dans le ton et l'esprit... Où quand le féminisme devient un "machisme inversé"... Cela entretient la guerre des sexes... Mais peut être que les féministes ont besoin de cela pour exister... Heureusement qu'il reste les bons mots pour se rassurer et éviter d'avoir peur par rapport à ce qu'il y a derrière ces discours...

Non, le féminisme n'est pas le machisme inversé! Je l'ai déjà dit mais je le répète, je sais qu'il y a trop de personnes qui pensent que le féminisme veut la domination des hommes par les femmes, alors que c'est complètement faux! En tous cas, s'il y a quelques féministes qui souhaitent que les femmes dominent les hommes, c'est loin d'être mon cas!

Attention, tu réagis trop vite, je n'ai jamais dit que les fémin istes voulaient "la domination des hommes par les femmes". Je dis que c'est un machisme inversé parce que le discours dont Thierry nous a sorti quelques perles plus haut est typiquement masculin mais exprimé par des femmes. C'est en cela que l'on a à faire à un discours qui s'apparente à un machisme inversé : en fait ce n'est rien que du classique : en sociologie on distingue souvent trois manières de vivre une identité : soit on la rejette, soit on l'inverse symboliquement (c'est le cas de ces citations) soit on en fait une ressource. Et c'est tout le problème des féministes des années 60-70, c'est qu'elles ont inversé leur identité sans réussir à en faire une ressource.
Claire je pense (vu ta réaction) pour le moment tu n'arrives pas à faire de ton féminisme une ressource mais que tu en es restée au féminisme de l'inversion symbolique et que tu risques de tomber dans ses travers...

Je suis plus ou moins d'accord avec cédric sur la dérivation du féminisme. Le féminisme qu'il présente n'est pas le beau féminisme de lutte pour l'obtention, sinon d'égalités et d'émancipations, en tout cas de droits des femmes.
Cependant, je ne suis pas d'accord sur certains points.
-premièrement mais c purement vocabulaire, peut on parler d'un style de féminisme dans ce cas précis que tu nommais machisme inversé. Je trouve la formule trop active. Je pense qu'il est simplement question de machisme, passé dans la bouche de femme, inconscientes ou condescendantes de cedi machisme, qui doivent ingurgiter ces idées à longueur de journées, et qui, justement, deviennent incapable de cerner en quoi ces idées sont patriarcalement conservatrices.
-deuxiemement, je ne suis pas d'accord sur ton observation à propos du féminisme des années 60-70. Meme si je ne suis pas un expert de cette partie de l'histoire, je penses quand meme que le mouvement féministe, même si il a dévié par la suite [on peut siter la dérive relative à la domination sexuelle absolue féminine, la société matriarchale basée sur la lutte des sexes, Claire l'a cité, le refus de l'homme en tant que compagnon et meme égal, et l'isolement féminin, et surtout la notion de super women libérale, refusant la notion de famille, d'enfants, de vie privée, de relation stable pour réussir dans la vie proffessionnelle], a apporté à la société et aux femmes des "ressources" non négligeables : le refus des valeurs et reglements conservatrices, principalement dans les unifs d'accord dans un premier temps, dès 68, la formation de groupes de discussions et d'idées féministes.
La continuation de luttes, si ce n'est de moins grande ampleur que mai 68, qui ont permis l'obtention de l'arret de la censure sur la pillule qui existait depuis les années 50, la formation de commission anti discrimination contre les femmes, les lois contre la discrimination des salaires fin des années 70[en belgique , a la suite d'une greve massive de travailleuses d'une fabrique d'armes soutenue par tout syndicat], et les lois pour l'avortement, obtenues en france difficilement sous Giscard.
L'obtention de tels droits, en démocratie libérale, peuvent etre appelées des ressources et non des inversion ou oppositions d'identités, surtout lorsquelle s'obtiennent par pressions et luttes ouvrieres et de gauche. Pas d'accord?
désolé pour la longueur, je me lance sur breizhskiff plus la dessus que sur un sujet bateau [] mais pourquoi pas après tout?

Si j'ai réagis trop vite, c'est qu'en fait j'avais cours à 13h35 !!
Bon, bah alors désolée si j'ai compris ce que tu as dit, je pensais que tu entendais par "machisme inversé" une forme de domination des hommes par les femmes, si c'est pas ça tant mieux!

J'ai pas l'impression que mon féminisme soit une inversion symbolique comme tu le dis... mais j'ai peut-être pas tout compris!

Enfin cela dit si tu n'as pas tout compris, je te comprend

pour ma part, c'est sûr, j'ai rien compris...
êtes vous vraiment sûrs que tout est aussi compliqué dans les relations hommes/femmes, dans la vraie vie je veux dire...

dans la vraie vie justement, tout est tellement complexe dans les relations sociales qu'il est absurde d'esperer expliquer tout par des mots, et pas le contraire!

dans la vraie vie justement, tout est tellement complexe dans les relations sociales qu'il est absurde d'esperer expliquer tout par des mots, et pas le contraire!

C'est pourtant simple:
Pour caractériser un niveau sociologique quelconque S, l'usage systématique de symboles complexes peut remédier à, et éliminer l'indistinctabilité au sens de la théorie des attributs distinctifs.
Donc en combinant les acquis sociaux et certaines déformations politiques, l'intuition sociale de la différentiation sexuelle délimite finalement une convention générale relative aux formes d'une société. Il convient de souligner, une fois de plus, que l'analyse d'une formative sociale en tant que paire d'ensembles d'antinômes n'affecte jamais la structure d'un ordre abstrait sous-jacent.
Pour toute transformation suffisemment diversifiée dans ses applications pour être de quelqu'intérêt social, la discussion précendente sur la déviance du féminisme n'est donc pas à prendre en considération dans l'oblitération de la démarche macho telle qu'elle est décrite dans le discours traditionnel des psychologues.
Pourtant l'apparition d'un hyatus parasitaire dans un domaine en soi relativement inaccessible à l'analyse ordinaire soulève de sérieux doutes quant à la capacité générative de cette approche.
Supposons par exemple que la puissance descriptive de la composante de base du machisme puisse être définie de manière à imposer des contextes interférants non-irrelevants dans le cadre des règles sélectives sociales. Dans la discussion portant sur les déviances resomptives il suffit alors de prendre en compte le standard ultime qui détermine la cohérence de n'importe quelle comportement social, et tout s'éclaire.
Ceci suggère qu'il existe un sous ensemble de comportements licites (intéressants également sur bases de raisons complètement non-connexes aux conventions générales relatives aux acquis socio-politiques).
En conséquence de l'approche qui vient d'être esquissée brièvement, le principe naturel général qui soutendra tout discours sociologique anti-sexiste est, apparemment, univoquement déterminé par l'exigence que le branchement ne soit pas toléré dans le champ dominant d'une pluriculture complexe.
De tout ceci il découle que l'erreur fondamentale consiste à considérer la notion de machisme comme catégorielle; elle doit être considérée au contraire comme un problème d'analyse sociofonctionnelle, voire sociomorphologique.

désolé, de bonne foi, je suis dépassé par le vocabulaire et les notions sociologiques!

Placer "obliteration", il fallait le faire, je dit bravo !

désolé, de bonne foi, je suis dépassé par le vocabulaire et les notions sociologiques!

Rassure-toi, tes compétences et ta bonne foi ne sont absolument pas en cause: le texte ci-dessus est complètement bidon!!!

Je lui ai donné des relents vaguement sociologiques en rapport avec le sujet de ce thread, mais tout ce charabia ne veut évidemment strictement rien dire... Mais n'est-ce pas le cas de beaucoup d'autres textes?

arf! bien joué, javais rien capté. :o
Pour les autres textes du thread, je ne suis pas d'accord.

je dois être un peu bête et trouver la vie un peu trop simple, mais je reste persuadée que vous aimez bien vous croquer le cerveau...

je reste persuadée que vous aimez bien vous croquer le cerveau...

Ah c'est comme ça que tu dis toi
Bon on va peut être essayer d'arrêter de se masturber l'esprit parce qu'après Jean-Mi se fout de notre gueule.

...je ne sais vraiment pourquoi, mais je trouve l'expression de m3u3h un chouïa plus distinguée, quoi
Ah bah, une des choses que j'apprécie sur ce forum, c'est que tout le monde a le droit de chambrer tout le monde