"nouveau dériveur" solitaire simple...

Cédric F wrote:

flebas wrote: Définition d'étanche sur un bateau : l'eau rentre mais ne ressort pas.
Vu que le mât est en deux parties, il ne peut pas être étanche.
Un trou au niveau du pied de mât devrait permettre à l'eau qui serait rentrée dans le mât de s'évacuer.

Il n'y a de la mousse et une "étanchéité" que sur la partie haute du mât. Il y a un trou d'évacuation à la base de la partie basse du mât. Et c'est justement ce que je cherche à faire pouvoir drainer l'eau de la partir haute vers le bas du mât. Pour cela qu'il va falloir faire un trou dans la mousse... Ou l'enlever.

Je vais vérifier demain, mais il me semble qu'il y a désormais un trou dans la mousse du bas de la partie haute. Si vous m'avez suivi bien sur!

LarDon wrote:

Cédric F wrote:

flebas wrote: Définition d'étanche sur un bateau : l'eau rentre mais ne ressort pas.
Vu que le mât est en deux parties, il ne peut pas être étanche.
Un trou au niveau du pied de mât devrait permettre à l'eau qui serait rentrée dans le mât de s'évacuer.

Il n'y a de la mousse et une "étanchéité" que sur la partie haute du mât. Il y a un trou d'évacuation à la base de la partie basse du mât. Et c'est justement ce que je cherche à faire pouvoir drainer l'eau de la partir haute vers le bas du mât. Pour cela qu'il va falloir faire un trou dans la mousse... Ou l'enlever.

Je vais vérifier demain, mais il me semble qu'il y a désormais un trou dans la mousse du bas de la partie haute. Si vous m'avez suivi bien sur!

Oui je veux bien une photo du bas de la partie haute du mât.

Florence wrote:

flebas wrote: Définition d'étanche sur un bateau : l'eau rentre mais ne ressort pas..

:ohmy: :blink: :woohoo: :sick:
Et ça flotte encore, une fois plein ?

Ça dépend de la densité des matériaux utilisés. En bois ou en sandwich (non délaminé), ça flotte (s'il n'y a pas de lest). Autrement ça coule.

Sur le RS100 la mousse est de section rectangulaire afin de ne pas épouser la forme du mat et de laisser par l'eau circuler sur les côtés
Pourquoi sur l'Aero ne pas juste la bisauter sur 2 faces et bien la coincer sur le reste de la circonférence ?
C'est toujours bon de garder un peu de mousse ?

Le mat du Rs 100 est prevu pour se vider par le bas. Il y a même un trou dans la coque sous le pieds de mat debouchant dans l'eau . Qu'il faut veiller à garder debouché. Le pieds de mat remonte sur le long du mat à une hauteur suffisante pour que l'eau ne remonte pas sur le pont.
Le mat se vide mais aucune eau pénètre sur le pont.

chris06 wrote: Le mat du Rs 100 est prevu pour se vider par le bas. Il y a même un trou dans la coque sous le pieds de mat debouchant dans l'eau . Qu'il faut veiller à garder debouché. Le pieds de mat remonte sur le long du mat à une hauteur suffisante pour que l'eau ne remonte pas sur le pont.
Le mat se vide mais aucune eau pénètre sur le pont.

C'est pareil sur l'Aero sauf que sur le mien la mousse n'était pas percée et ou biseautée pour faciliter l'écoulement? Sur les derniers bateaux c'est réglé et sur le mien cela va l'être aussi.

digital.turn-page.com/i/592938-nov-2015-48n-digital/38
Sur le web on trouve aussi quelques beaux exemplaires d'Aero personnalisés : les Suédois avaient déjà fait cela en RS100.
L'Australien est superbe.
propercourse.blogspot.fr/2015/11/rs-aero-news.html

Vivement les prochaines nav... Encore quelques jours pour moi !

Bonjour, nouveau sur le forum (un chouïa moins sur le circuit) j'ai pris plaisir à lire les 19 pages de publications et notamment le match racing entre Cédric et Remi.

Je souhaiterais revenir sur quelques sujets abordés et donner mon avis parce qu'apparemment ici ça peut intéresser des gens :cheer:

Intersérie VS monotypie.
Je suis étonné que l'intersérie dériveur soit autant sujet à polémique. Pour faire également un peu d'habitable, où réside une très grande diversité de modèles, il me semble que l'intersérie ne pose pas autant problème. En faisant des groupes à ratings proches, les flottes peuvent jouer aussi bien qu'avec un bateau identique. Même avec des ratings plus éloignés les uns des autres, le plaisir demeure intact. Il suffit de savoir où son embarcation se situe par rapport au reste de la flotte en terme de potentiel de vitesse. Si bateau lent petit rating, alors il faut coller au maximum la queue de flotte. Au contraire, bateau rapide gros rating il faut distancer le peloton. En définitive, on se fixe un objectif qui est tout aussi excitant que de courir en temps réel. Le but reste le même : faire marcher le bateau au mieux de ses capacités. J'ajouterais qu'il existe un plaisir supplémentaire à attendre les résultats pour vérifier que la place acquise correspond à celle que l'on croyait acquérir. L'intersérie me semble une bonne formule car elle n'impose pas un bateau et offre la liberté de naviguer sur l'engin qui correspond le mieux à chacun. Par ailleurs, la monotypie existe-elle réellement ? Je n'en suis pas convaincu au vu des différences cachées qui créent des écarts entre les bateaux. C'est assez drôle de constater que les pros du monotype mettent un point d'honneur à avoir le bateau le plus récent car jugé plus rapide. Ils engagent une course à l'armement en renouvelant très régulièrement leur matériel. Ils biaisent le jeu en donnant une importance fondamentale à leur équipement, alors que normalement en monotypie, c'est le bonhomme qui fait la différence. On notera aussi, que le poids du marin n'est pas monotype donc chacun navigue avec des chances différentes. De même, peut-on parler de monotypie lorsque deux individus naviguent sur un modèle identique mais que l'un pratique 3 fois par semaine avec un coach (présent sur une sécu aux régates) tandis que l'autre navigue de temps en temps quand il le peut et sans entraineur ? A l'occasion de la solitaire du figaro, les journalistes (ou personnages politiques essayant de se faire passer pour des connaisseurs) m'exaspèrent à affirmer que les concurrents sont à armes égales. C'est complètement faux. D'abord parce que si la coque est monotype, les voiles ne le sont pas (en forme en tout cas). Puis, parce que le budget diffère d'un concurrent à l'autre. Certain peuvent s'offrir les services des préparateurs pendant qu'ils dorment, d'autres non. Comme la fraîcheur physique représente un facteur de victoire, surtout en figaro, on peut sur ce point dire qu'il n'y a pas de monotypie. Pour terminer sur le sujet, prenons le Vendée Globe qui a finalement une bonne formule de jauge. Chacun court en temps réel avec des bateaux différents. Si les opens dernières générations ont plus de chances de l'emporter, je ne crois pas que ceux qui partent avec des bateaux âgés font une plus mauvaise course, ou qu'ils font de la figuration. La c'est une nouvelle fois une histoire d'objectif que l'on se fixe. Ce n'est pas pour rien si cette course est aussi populaire, elle fait rêver et tout le monde y trouve son compte.

Le concept easy sailing.
Je trouve dommage que le prétexte pour ne pas aller naviguer c'est de dire qu'il y a des contraintes. Oui, la voile implique des contraintes, comme dans la vie quotidienne en somme. Or, pour moi aller naviguer c'est pas seulement tirer des bords sur le plan d'eau, c'est aussi préparer son bateau. J'ai toujours trouvé ça plaisant, car cela permet d'admirer son voilier, de le connaitre, de se préparer mentalement en observant ce qui se passe autour etc. Si j'ose un parallèle, le easy sailing c'est un peu l'amour sans les préliminaires, on rate quelque chose. Sans tomber dans le zizi sailing (désolé je n'ai pas pu résister :whistle: ), je suis d'accord, il ne faut pas que ça dure trop longtemps car le but c'est d'aller sur l'eau, mais pour moi l'argument contrainte est une fausse excuse à l'absence de motivation. C'est aussi le reflet de la société de consommation, il faut tout tout de suite, et puis on passe à autre chose. C'est dommage.

Enfin, puisque le sujet portait sur les dériveurs solitaires sans spi ni trapèze je souhaitais rendre hommage au Laser EPS qui a été cité trop brièvement. J'en possède un depuis près de 4 ans et je dois dire que ce bateau procure un plaisir immense tant d'un point de vue esthétique que des sensations sur l'eau. Il ne laisse personne insensible sur un parking vu le nombre de questions auxquelles j'ai eu à répondre. Dommage qu'il n'ait pas connu plus de succès car il est très performant, équilibré et confortable. Effectivement je suis un peu seul sur l'eau avec mais je m'amuse quand même. Je dois à ce super canot de m'avoir fait beaucoup progresser. Quand je l'ai acheté l'Aero n'existait pas encore, sinon il correspondait à ce que je recherchais à l'époque. Aujourd'hui je veux poursuivre ma progression, en évoluant vers un autre bateau plus technique et davantage skiff. Après plusieurs essais j'envisage de passer au RS 600 qui outre ses performances, fait preuve d'une mise en oeuvre ultra rapide.

Corentin wrote: Si j'ose un parallèle, le easy sailing c'est un peu l'amour sans les préliminaires, on rate quelque chose. Sans tomber dans le zizi sailing (désolé je n'ai pas pu résister :whistle: ), je suis d'accord, il ne faut pas que ça dure trop longtemps

Celle-là elle est belle! Félicitations pour ce premier post. :lol:

Bon, et puis vivement qu'on monte une flotte monotype RS600 sur la côte d'émeraude alors. Ah non, c'était pas ça le sens de ton message sur la monotypie?... J'attaque la rééducation la semaine prochaine pour vous rejoindre au printemps. :silly:

Un souffle neuf, Corentin. Merci

Corentin wrote: Aujourd'hui je veux poursuivre ma progression, en évoluant vers un autre bateau plus technique et davantage skiff. Après plusieurs essais j'envisage de passer au RS 600 qui outre ses performances, fait preuve d'une mise en oeuvre ultra rapide.

t'as essayé aussi le RS700?... d'aprés ce que j'en sais (via Mister Honor) le 700 est plus stable que le 600, toilé pareil pour la GV et avec un spi en prime, ce qui ajoute de l’agrément selon moi... Plus stable, aussi puissant et un spi en plus... ça vaut le coup de comparer... même si dés qu'il y a un spi, c'est un peu plus de temps pour la mise en oeuvre.... ( NB :sur mon blaze, avec un spi rajouté, ça allonge le temps de mise en oeuvre de seulement 10minutes... soit 1/2heures entre la remorque et la mise à l'eau... c'est pas la mer à boire quoi...)

Bon, je suis hors sujet :huh: puisqu'il s'agit des "nouveaux dériveurs solitaires simples"... :sick: mais bon... j'donne mon avis quand même... c'est tellement bien d'avoir un spi...j'adore c'te voile... :silly:

Ici personne ne remet trop en cause l'intersérie. On est même les premiers à la défendre, à dire qu'elle est une forme de compétition sportive à part entière. La ligne de partage avec certaines personne c'est que justement nous pensons qu'elle est une activité à part entière et non pas une pratique par défaut par rapport à la monotypie et au temps réel.

Sur le Easy sailing, tu as sans doute raison. Néanmoins, pour développer la voile qu'on le veuille ou non il faut lever les contraintes réelles ou supposées que certains peuvent mettre en avant pour dire qu'ils ne naviguent plus ou pas. Dans des sociétés où le temps est contraint, où on court après, où les contraintes professionnelles sont fortes, où les contraintes familiales deviennent "prégnantes", il faut pouvoir proposer des formules qui permettent d'aller vite sur l'eau, naviguer, se défouler. Bien évidemment que préparer un bateau, c'est passionnant, perdre du temps sur un parking, un ponton, c'est un art dans la voile, et bien évidemment que tu as raison de faire le parallèle avec la société de consommation où il faut tout de suite. La réalité c'est que c'est ainsi et qu'on ne changera pas cela ! Pour cette raison que le concept d'easy sailing m'intéresse. Il offre une réponse à certaines personnes qui du coup apprendront les contraintes et à faire des préliminaires. Il n'a pas vocation à remplacer tout mais il apporte une réponse pour capter des gens qui ne navigueraient pas. c'est un outil parmi d'autres.

Sur le Laser EPS. A l'époque de sa sortie, il ne s'en est pas fallu de beaucoup pour que j'en achète un. Le bateau est magnifique, le gréement superbe et la carène une petite merveille. Il avait deux défauts : le premier d'avoir été un peu lourd et trop marketé sur le modèle Laser et second défaut d'avoir été un peu en avance sur son temps. Pour faire le lien avec le sujet précédent, peut être que l'histoire aurait été différente si à l'époque il avait été vendu autour du concept de easy sailing et pas celui de remplaçant potentiel du Laser. L'Aero ou le D-Zero ou autres n'ont pas été marketé comme cela. Au contraire RS Sailing par exemple n'a jamais positionné l'Aero sur le schéma du Laser.

Cédric F wrote:
Sur le Laser EPS. A l'époque de sa sortie, il ne s'en est pas fallu de beaucoup pour que j'en achète un. Le bateau est magnifique, le gréement superbe et la carène une petite merveille. Il avait deux défauts : le premier d'avoir été un peu lourd et trop marketé sur le modèle Laser et second défaut d'avoir été un peu en avance sur son temps. Pour faire le lien avec le sujet précédent, peut être que l'histoire aurait été différente si à l'époque il avait été vendu autour du concept de easy sailing et pas celui de remplaçant potentiel du Laser. L'Aero ou le D-Zero ou autres n'ont pas été marketé comme cela. Au contraire RS Sailing par exemple n'a jamais positionné l'Aero sur le schéma du Laser.

On peut même s'étonner que personne n'ait repris le moule pour recommencer sa diffusion, comme pour le 4000 par exemple...

Le RS 100 répond parfaitement à vos souhaits d'un bateau fin à régler , puissant, rapide à gréer, très beau , pour tout dire je continue à naviguer une à deux fois par semaine , c'est un bonheur !!
Essayez le .
Sous spi ou au près
Bonnes fêtes

Pour le débat entre l'intersérie et la monotypie, je rebondissais sur les arguments de Rémi relatifs au placement par rapport à la flotte et pour qui le fait d'avoir le même bateau rendait la régate plus excitante.

Pour l'EPS, je me souviens qu'à sa sortie, il valait pas loin de 52 000 francs (ça ne nous rajeunit pas) comparé à un laser classique qui tournait dans les 30 000. Cette différence énorme a forcément du en rebuter plus d'un. Merci le marché de l'occasion qui m'a permis de réaliser ce rêve de gosse. Aujourd'hui, je sens que je vais avoir du mal à m'en séparer mais l'attrait du trapèze est fort et puis j'ai bien envie de jouer dans la même cours que les skiffeurs. Pour répondre sur le 700, c'est d'abord une question de budget et puis de poids du barreur. Je n'ai pas le gabarit pour tenir le spi dans la brise. L'avantage du 600 réside aussi dans la possibilité de mettre un ris pour réduire la toile à 10 m2 (au lieu de 12).
Concernant le RS 100 je m'étais posé la question lors de sa sortie. A l'époque je n'avais pas autant confiance sur un bateau et la gestion du spi avec un poids léger m'avait un peu refroidi. Et puis question budget c'était plus élevé que l'EPS. J'ai par ailleurs un peu de mal à trouver le RS très joli sur toute les allures (les goûts et les couleurs :pinch: ). Et aujourd'hui j'ai envie de monter au trapèze. Sinon, indéniablement il possède de nombreux avantages.
On s'égare du sujet alors pour y revenir j'ai également eu la chance d'essayer l'aero en avril sur la Rance (merci Gilles). Le test a été rapide et peu venté mais il permettait de se faire une bonne idée de la légèreté de l'engin. J'avoue avoir aimé mais malgré tout préférer l'EPS. L'inconvénient majeur de l'EPS réside dans la récupération des pièces car laser n'a plus de stock et apparemment ne possède plus les plans et mesures. Heureusement que je n'ai pas encore cassé de mat et que l'association de classe anglaise fourmille d'informations. Une reprise de construction serait top. J'aimerai que quelqu'un propose une version avec échelles et trapèze de sorte qu'il devienne un petit 600. En tout cas si vous avez l'opportunité d'essayer ça vaut le coup.

Il y a effectivement des gens qui ne conçoivent l'intersérie comme un sous-produit de la monotypie et du temps réel et qui ne la développeront que par rapport ces derniers.

Sur l'EPS, effectivement à l'époque le bateau était plus cher qu'un Laser mais il faut bien voir que les mâts en carbone avait un coût autrement plus important qu'aujourd'hui. Il faut aussi rappeler que son architecte (facile à contacter ) n'est par l'architecte le moins cher en matière de voile légère ni le moins facilement gérable dans sa relation avec un constructeur. Enfin l'EPS coûtait plus cher à construire que le Laser. Les ailes notamment et que cela a eu des conséquences sur poids du bateau qui aurait dû être beaucoup plus léger selon l'architecte.

Cédric F wrote: Il y a effectivement des gens qui ne conçoivent l'intersérie comme un sous-produit de la monotypie et du temps réel et qui ne la développeront que par rapport ces derniers.
.

CELA VA SANS DIRE.

mais certains préféreront toujours

l'original à la copie
l'ersatz à l'elixir
le placebo au composé actif
le traitement de substitution à la pure dope….
le PC au Mac

Pour revenir au sujet, notre ami Peter Barton accélère le développement de la classe. Comme me l'a dit Martin Wadhams en Chine, la meilleure chose que RSSailing ait faite avec l'Aero c'est d'engager Barton.
Donc autour du 16 mais 3 jours de régate et une journée de coaching en République Tchèque. Location du bateau 200 euros.
Ensuite pour l'Européen fin juillet à Travemunde, une semaine de régate, location de l'Aero à 550 euros.
Pour la Tchéquie la priorité est donnée au locaux, pour Travemunde, la priorité est donnée aux non européens.
Bref si la seule possibilité de régater en louant un bateau n'est plus limitée aux cuisines équipées et à Laser (de moisn en moins vrai pour laser) cela pourra vraiment valoir le coup !

www.yachtsandyachting.com/forum/uploads/7723/image.jpg

4 nouveaux 300 en passe de sortir du chantier "boatyard @Beer", chantier qui a donc repris la commercialisation et la fabrication du RS300 et du RS600 et continue la production du RS700 et a ajouté à son catalogue la fabrication du nouveau RS200
www.theboatyardatbeer.com/blog/?p=243

Le Blaze (outil de production, et droits) a été racheté par Hartley boats. C'est maintenant officiel même si c'était connu depuis plusieurs semaines. Hartley boats à ne pas confondre avec la série culte Hartley coeur à vif (ok je sors) est un petit chantier anglais qui produit quelques séries bien connues et avait aussi proposé le Rebel Skiff pour le test sur le skiff féminin.
www.hartleyboats.com/index.php

En espérant que cela puisse permettre de poursuivre le développement du Blaze. L'occasion de rendre un bel hommage à Mike Lyons. Mike était coureur en Blaze après avoir fait du RS300 et bien d'autres bateaux. Lorsque Topper a eu la mauvaise idée d'arrêter sa gamme fibre, Mike a racheté les moules et les droits du Blaze. Le succès a été au rendez-vous en améliorant considérablement le niveau de fabrication et en modernisant le gréement, l'accastillage etc. C'est fou ce qui peut être fait par des passionnés.