Culture, cinéma, expo, théâtre, musique, littérature...

Faut qu'réserve le Grand Rex, alors !!! :-X

Fréd. junky;

Mais pour t'éviter de réserver le Grand Rex (quoique), je voulais en fait préciser que je suis persuadé que regarder ce film avec un(e) ex aurait une saveur supplémentaire, surtout avec un(e) ex avec qui on aurait recouché

La mer est démontée et on ne pourra pas la remonter : Raymond Devos est mort... "trois fois rien c'est déjà beaucoup"...

La mer est démontée et on ne pourra pas la remonter : Raymond Devos est mort... "trois fois rien c'est déjà beaucoup"...

:'( :'(

Ainsi que Roba "père" de Boule et Bill...... Double deuil en belgique.... tristes nouvelles.....

:'( :'(

La mer est démontée et on ne pourra pas la remonter : Raymond Devos est mort... "trois fois rien c'est déjà beaucoup"...

VRAIE GROSSE TRISTESSE !!! :'( :'( :'(
La dernière du genre, c'était à l'automne 1981, à la mort d'un de ses bons copains d'ailleurs : "tonton" Georges.
Voilà une bien sale journée !

Fréd. :'(

Je l'aimais bien aussi. Grand participant actif dans mon parcours vers une petite compréhension de cette belle langue française.

www.liberation.fr/page.php?Article=390481

Je l'aimais bien aussi. Grand participant actif dans mon parcours vers une petite compréhension de cette belle langue française.

"Je me suis remis à la clarinette. C'est ce qui se rapproche le plus de l'anglais"

Deux petits films symathiques, légers et drôles, parfaits en cette période de coupe du monde :

On va s'aimer : encore un film sur les amours des trentenaires (je n'en loupe pas un). Ce thème devient un genre à part entière dans le genre des comédies romantiques. Ce n'est pas le meilleur en la matière mais c'est loin d'être le plus mauvais. Les acteurs sont excellents et les dialogues travaillés et donc savoureux. Pour couronner le tout, à la manière d'un Alain Resnais, le film est entrecoupé de chansons : ici des chansons ringardes des années 80 dont les trentenaires ont été abreuvés dans leur jeunesse.

Avril : l'histoire d'une jeune femme (l'excellente sophie Quinton) abandonnée à la naissance dans un couvent et qui à la veille de prononcer ses voeux apprend qu'elle a un frère jumeau. Elle décide de partir à sa recherche. Premier long métrage d'un cinéaste qui s'était fait remarquer pour ses courts, ce film est absolument bien maîtrisé et mérite d'être vu. Miou-Miou et Duvauchelle sont également excellents.

L'envolée lyrique au musée du Luxembourg.

Une très belle exposition sur le mouvement abstrait de Paris entre 1945 et 1956. Un grand nombre de toiles superbes et emblématiques de ce mouvement important qui marque le début de l'abstraction française et la fin de Paris comme capitale de la création artistique en peinture. Au rang des artistes connus, Soulages, Manessier, De Staël, Schneider, Zao Wou-Ji, Hans Hartung... Un grand nombres d'autres artistes beaucoup moins connus mais néanmoins très intéressants.
Même si la présentation purement chronologique déçoit un peu, cette exposition tranche avec beaucoup d'autres : il s'agit certes d'une exposition rétrospective mais on est certain d'en sortir en ayant découvert des choses nouvelles.

Je n'ai plus la chance  : d'habiter Paris, mais je me suis fait offrir le catalogue de l'expo... c'est magnifique (même en petit  )

Te fais pas mal au dos en le portant.... :-X

L'envolée lyrique au musée du Luxembourg.

Une très belle exposition sur le mouvement abstrait de Paris entre 1945 et 1956. Un grand nombre de toiles superbes et emblématiques de ce mouvement important qui marque le début de l'abstraction française et la fin de Paris comme capitale de la création artistique en peinture. Au rang des artistes connus, Soulages, Manessier, De Staël, Schneider, Zao Wou-Ji, Hans Hartung... Un grand nombres d'autres artistes beaucoup moins connus mais néanmoins très intéressants.
Même si la présentation purement chronologique déçoit un peu, cette exposition tranche avec beaucoup d'autres : il s'agit certes d'une exposition rétrospective mais on est certain d'en sortir en ayant découvert des choses nouvelles.

Cette fois-ci on peut s'y rendre sans avoir besoin de prendre un billet à l'avance ou c'est toujours le même problème?

Ce matin, je n'avais de billet coupe-file mais il n'y avait personne à attendre : il était 11h30.

Paris je t'aime

Film composé de 18 court-metrages de 7' (Il devait y en avoir 20 mais 2 non pas été retenus) et qui rendent hommage à Paris au travers du regard de cinéastes français et étrangers.

QQ joyaux parmi ces 1! séquences mais globalement l'ennui l'emporte.

A signaler donc:
Les films de Bruno Podalydés, des frères Cohen, de Depardieu (si si)....

Changement d'adresse:

Un film d'Emmanuel Mouret, charmant et trés drole au parfum Rohmérien.....

David (Emmanuel Mouret) s'installe à Paris et alors qu'il cherche un appart, Anne (Fréderique Bel) rencontrée par hasard lui propose de co-louer son appart.

David est musicien, il joue du cor ( "Tu veux que je te montre mon cor" "Oui j'adorerais" "On m'a dit que j'avais un cor superbe" ) et donne des cours particulier à Julia dont il tombe éperdument amoureux.
Anne le conseille dans ses amours....

C'est trés savoureux tout en finesse et en délicatesse. Un film d'amours (pré?)trentenaires... un film pour Cedric quoi.....

Encore un film de trentenaire, il va donc falloir que j'y aille... Puisque tu m'a dissuadé d'aller voir le film sur Paris...

En plus dans "Changement d'adrese" on y voit beaucoup mieux Paris!!!

Je ne vais pas lancer une guerre Paris-Province... Pourtant de retour dans la douceur angevine pour deux jours, j'ai voulu aller au cinéma voir "changement d'adresse" hier. J'écoute les sages conseils de Thierry. Angers a beau être une ville avec une culture cinéma forte, ce film n'était diffusé qu'à des horaires de merde. Plus précisément il n'était pas en dernière séance. Et comme selon moi voir un film à une séance autre que celle de 22h00, c'est comme naviguer au portant sans spi : une hérésie. Mon envie de cinéma était trop forte hier soir pour que je n'y aille pas. Je me suis donc rabattu sur "nos jours heureux", comédie sur les colonies de vacances avec le définitivement très bon Jean-Paul Rouve. Un peu de "la guerre des boutons" et des "Choristes", il y a de fortes chances pour que ce film soit la comédie de l'été, d'une part pour sa relative bonne qualité, mais aussi parce que qu'il y a beaucoup de merdes à arriver sur les écrans cet été au cinéma.

Chirac aura pour le moment fait deux choses de bien en 12 ans de présidence : tout d'abord, le discours du Vel d'hiv en 1995 dans lequel il reconnaissait une responsabilité de l'Etat Français dans la déportation des Juifs pendant la seconde guerre mondiale et ensuite le musée du quai Branly consacré aux arts premiers et aux civilisations d'Afrique, d'Asie, d'Amérique et d'Océanie. Réalisé par Jean Nouvel, le bâtiment et le jardin sont absolument magnifiques. L'espace intérieur sans aucune symétrie est une petite merveille. L'utilisation de cet espace ainsi que la présentation des collections sont admirablement maîtrisés. Les jeux de lumières sont parfaits pour faire ressortir toutes les pièces présentées. Seul bémol, si les bâtiments et le jardin qui composent ce musée sont absolument réussis, la collection reste tout de même légère.

Hier soir (avant le match), je suis allé au théâtre de la Madeleine voir "la maladie de la mort", un texte de Duras joué par Fanny Ardant. Seule sur scène, dans un décor sobre couleur terre et où toutes les atmosphères sont créées par de magnifiques jeux de lumière, Fanny Ardant dit ce texte non écrit pour le théâtre. Et c'est une réussite : ce n'est pas une récitation et le dialogue des deux personnages, un homme, une femme, lui incapable d'aimer, elle prostituée, est bien rendu alors qu'on pourrait que ce texte ne passerait pas au théâtre.
L'histoire, un homme incapable d'aimer achète les services d'une prostituée. C'est d'un érotisme torride et d'une violente beauté? à l'image de Fanny Ardant ?